Présentation de la Malaria

« Exposé portant sur le phénomène de la malaria Introduction(historique, localisation) : Le paludisme, autrement appelé la malaria, se définit par une parasite du sang, le plasmodium, et se transmet par la piqûre d'un moustique de type Anophèle.

C'est en 1880, à l'hôpital militaire de Constantinople que le médecin français, Alphonse Laveran découvre cela.

Par la suite, Ronald Ross va prouver que ce sont les anophèles femelles qui possèdent la maladie et qui la transmettent aux humains.

Le mot « Paludisme » provient du latin: Palus, Palis, qui signifie le marais.

Le mot anglais est « Malaria » qui provient aussi du latin : Mala Aria, qui lui signifie Mauvais Air.

Cela a donc un rapport avec des zones marécageuses car celles-ci posséderaient de nombreux moustiques.

En effet, le paludisme aurait fait son apparition il y a des décennies (+/-50,000 ans) et serait ainsi le plus ancien pathogène humain.

Il aurait fait son apparition chez les chimpanzés qui possédaient le Plasmodium reicheowi, mais selon une étude réalisée en Afrique centrale, celui-ci ne se transmet pas à l'homme.

Ils ont par la suite découvert que le responsable majeur serait le gorille.

Celui-ci aurait posséder le Plasmodium falciparum, et serait très proche de celui transmis à l'homme.

Le parasite a été transmis du gorille à l'homme par le moustique (anophèle) et provoque des fièvres.

Selon les différents continents, le premier cas de paludisme a été découvert il y a bien longtemps.

En Afrique, c'est en 1500 avant J-C que le premier rapport de fièvre avait été réalisé.

Ce rapport était le Papyrus Ebers.

Ce fut un des plus vieux traité médical que l'homme n'ait connu.

Celui-ci aurait été rédigé sous le règne du pharaon Amenhotep.

Ce papyrus Ebers regroupait 877 paragraphes où un tas de maladies y était décrites avec leurs remèdes dont le cas de paludisme.

Ensuite, en Asie, c'est à l'antiquité, qu'est réalisé en Inde 'Les Vedas' (textes de connaissances) et dans lequel des médecins comme Charka et Sushurta décrivent leur état de fièvre.

On s'imagine qu'il s'agissait de fièvres paludiques dû aux piqûres de moustique.

En Europe, suite à des recherches, on a remarqué que ce virus était présent autrefois et a causé de nombreux dégâts dans les maisons où le paludisme était fréquent.

En Angleterre, on dit que le nombre de mort causé à la suite de ce virus était identique au nombre de mort en Afrique subsaharienne aujourd'hui.

Enfin, en Amérique, la maladie avait fait son apparition suite au débarquement des colons européens ainsi que de leurs esclaves africains portant le Plasmodium.

Aujourd'hui, le paludisme, au niveau géographique, a été totalement éradiqué en Europe.

Seule la Fédération de Russie est encore à surveiller puisqu'il y aurait encore des transmissions de paludisme à cause du P.vivax et serait donc capable de réapparaître dans le sud de l'Europe. En Afrique, c'est là qu'on retrouve le plus de cas de paludisme et surtout dans toute l'Afrique subsaharienne où se trouve le P.falciparum, ainsi que le P.

ovale.

L'Afrique de l'est est aussi touchée.

Cependant, l'Afrique du nord, quant à elle, possède un faible cas du paludisme.

Ensuite, l'Amérique du nord ne présente plus de cas et a été totalement éradiquée.

Tandis qu'en Amérique centrale on retrouve le P.Vivax.

En Amérique du Sud, le P.

Falciparum est présent mais surtout en Amazonie.

Les grandes villes américaines sont indemnes.. »