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POINCARE, Raymond (20 août 1860-15 octobre 1934) Président de la République (1913-1920) Cousin du mathématicien Henri PoincaréF300D, cet avocat célèbre du barreau de Paris entre en politique en 1887 quand il devient député progressiste de la Meuse, mandat qu'il gardera jusqu'en 1903.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : POINCARE, Raymond (20 août 1860-15 octobre 1934) Président de la République (1913-1920) Cousin du mathématicien Henri PoincaréF300D, cet avocat célèbre du barreau de Paris entre en politique en 1887 quand il devient député progressiste de la Meuse, mandat qu'il gardera jusqu'en 1903. Ce document contient 305 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« POINCARE, Raymond (20 août 1860-15 octobre 1934) Président de la République (1913-1920) Cousin du mathématicien Henri Poincaré , cet avocat célèbre du barreau de Paris entre en politique en 1887 quand il devient député progressiste de la Meuse, mandat qu’il gardera jusqu’en 1903.

En 1893, à trente-trois ans, il devient ministre de l’Instruction publique, il passe aux Finances, revient à l’Education nationale.

Dreyfusard uniquement pour des raisons juridiques et légales, il est nommé président du Conseil le 14 janvier 1912 et assume au sein de son gouvernement le portefeuille des Affaires étrangères, avec lequel il remet en place la Triple-Entente, resserrant l’alliance entre la Grande-Bretagne, la Russie et la France.

Succédant à Armand Fallières , il est élu président de la République le 18 février 1913 et pèse de tout son poids pour que soit adoptée en août de la même année la loi militaire des trois ans, qui vise à renforcer les effectifs militaires et à moderniser les équipements de l’armée.

Si lorsque éclate la guerre il se veut le champion de “ l’Union sacrée ”, il se voit contraint de nommer son vieil adversaire Clemenceau à la présidence du Conseil en 1917. Après avoir quitté la présidence de la République en 1920, laissant à Paul Deschanel une éphémère succession, il n’abandonne pas la vie politique puisque, président du Conseil en 1922, il décide de l’occupation de la Ruhr en 1923 pour assurer le paiement des réparations dues par l’Allemagne.

La crise monétaire et l’augmentation des impôts qu’il met en place amènent en 1924 le Cartel des gauches au pouvoir. Mais dès juillet 1926 c’est à lui qu’il revient de former un cabinet d’Union nationale qui, au prix d’une dévaluation en juin 1928, permet de stabiliser le franc.

Après avoir démissionné, malade, il consacre les dernières années de sa vie à la rédaction de ses Mémoires.. »

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