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Plan Barrière de vérité, Tomas Transtromer, 1978 « La clairière »

Publié le 02/06/2024

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« Plan Barrière de vérité, Tomas Transtromer, 1978 « La clairière » Partie I (entrée dans la clairière) « Il y a au milieu de la forêt, une clairière insoupçonnée que ne découvre que ceux qui s’égare » -pour trouver la clairière il faut suffisamment s’aventurer, sortir des chemins tracés, s’évader de la forêt. -la forêt peut-être = a la vie donc peut-être sortir des chemins tracés pour mieux vivre ou découvrir d’autre morceau de vie. -aimer prendre des risques = liberté et courage « La clairière est cernée par une forêt qui s’étouffe peu à peu.

Des troncs noirs, à la barbe cendrée des lichens.

Ces arbres vissés très près sont morts jusqu’à leur cime, où quelques branches vertes effleurent la lumière.

Et dessous : l’ombre qui couve de l’ombre, la tourbe qui s’étend.

» -description de la forêt : oppositions (troncs noirs a la barbe cendré ≠ branches vertes effleurent la lumière) lieu de contraste + personnification (qui étouffe…) Partie II (découverte de la clairière) « Mais l’herbe est étrangement vivante sur cette place ouverte.

Où gisent de grandes pierres qui semblent alignées.

» -continue un peu la description « Sans doute les fondations d’une maison, mais je me trompe peut-être.

Qui a vécu ici ? Personne ne peut nous renseigner.

Les noms sont quelque part, dans des archives que nul n’ouvre plus (seules les archives gardent leur jeunesse).

» -existence de la vie en ce lieu autrefois ? -temporalité/mort « La tradition orale se perd et, avec elle, les souvenirs.

Le clan tzigane se souvient, mais ceux qui savent écrire oublient.

Noter pour oublier.

» -archives = garder trace du passé car elles ne meurent jamais humain et leurs oraux -écrit n’est pas forcement transmis -noter pour oublier car une fois que c’est écrit on peut toujours relire pour se rappeler et transmettre. -oppositions entre forêt morte/clairière isolée/trace de vie s’impose à nous « Un bruissement de voix dans la chaumière, c’est le centre du monde.

» -car notre maison est le centre de notre monde quand on est petit/on ne connaît rien d’autre. « Mais ses habitants meurent ou s’en vont, et la chronique prend fin.

» -idée de temps et de mort, disparitions. « La chaumière reste à l’abandon pendant bien des années.

Et elle se change en sphinx.

A la fin, tout s’en est allé, si ce n’est les fondations.

» -sphinx est une créature légendaire qui.... »

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