PIERROT LE FOU
Publié le 06/12/2021
Extrait du document
PIERROT LE FOU
Réalisation et scénario
D'après le roman de
Directeur de la photographie
Musique
Chansons
Coproduction
Distribution
Durée
Jean-Luc GODARD (1965)
Lionel WHITE
Raoul COUTARD (Eastmancolor)
Antoine DUHAMEL
Bassiak
Rome-Paris-Films - Productions Georges
de BEAUREGARD (Paris), Cinemato
grafica - Dino de LAURENTIIS (Rome)
S.N.C.
112 minutes
INTERPRÉTATION
Ferdinand Jean-Paul BELMONDO
Marianne Anna KARINA
Le « frère « de Marianne Dirk SANDERS
L'homme du port Raymond DEVOS
La femme de Ferdinand Graziella GALVANI
Le gangster Roger DUTOIT
Le gangster Hans MEYER
Le nain Jimmy KAROUBI
Deuxième frère Pascal AUBIER
Samuel Fuller Samuel FULLER
L'HISTOIRE
Ferdinand qui vient de perdre son travail renoue des relations avec une jeune étu¬diante, Marianne, qu'il a jadis aimée. ils décident de partir ensemble mais celle-ci lui déclare qu'il faut d'abord se débarrasser d'un cadavre qui se trouve dans la pièce voisine. Marianne lui confie que son frère l'a placée dans une bande rivale de la sienne pour l'espionner. Mais Ferdinand (que son amie appelle Pierrot le Fou) démêle difficilement le vrai du faux dans les propos de la jeune femme... Le couple est poursuivi par la police. Ils sont témoins d'un accident où le véhicule a pris feu. Ferdinand décide de placer sa voiture à
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Les Fiches de Monsieur Cinéma
Histoire Illustrée du Cinéma Mondiaf
PIERROT LE FOU
Réalisation et scénario ...................
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D'après le roman de ...................
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Directeur de la photographie .............
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Musique ...............................
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Chansons ..............................
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Coproduction ..........................
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Distribution
............................
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Durée ..................................
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Jean-Luc
GODARD (1965)
Lionel WHITE Raoul COUTARD (Eastmancolor)
Antoine DUHAMEL Bassiak
Rome-Paris-Films -Productions Georges
de
BEAUREGARD (Paris), Cinemato
grafica -Dino de LAURENTIIS (Rome)
S.N.C.
112 minutes
INTERPRÉTATION
Ferdinand .............................
.
Marianne ..............................
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Le « frère » de Marianne ...............
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L'homme du port .......................
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La femme de Ferdinand ................
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Le gangster ............................
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Le gangster ............................
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Le nain ...............................
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Deuxième frère .........................
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Samuel Fuller ..........................
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Jean-Paul
BELMONDO Anna
KARINA Dirk SANDERS Raymond DEVOS Graziella GAL V ANI
Roger DUTOIT Hans MEYER Jimmy KAROUBI Pascal AUBIER Samuel FULLER
L'HISTOIRE
Ferdinand qui vient de perdre son travail renoue des relations avec une jeune étu
diante, Marianne, qu'il a jadis aimée.
lis décident de partir ensemble mais celle-ci
lui déclare qu'il faut d'abord se débarrasser d'un cadavre qui se trouve dans la pièce
voisine.
Marianne lui confie que son frère l'a placée dans une bande rivale de la sienne pour l'espionner.
Mais Ferdinand (que son amie appelle Pierrot le Fou) démêle difficilement le vrai du faux dans
les propos de la jeune femme...
Le couple est poursuivi par la police.
Ils sont témoins d'un accident où le véhicule a pris feu.
Ferdinand décide de placer sa voiture à
côté pour faire croire à une collision.
Ils
vivent quelques jours comme des naufragés sur une île déserte.
Un nain, membre de la bande,.emmène Marianne.
Ferdinand le
découvre assassiné et se fait matraquer par deux complices.
Ferdinand retrouve enfin
Marianne.
Elle le présente à son frère qui
lui propose de participer à un hold-up.
Le coup réussit mais Ferdinand comprend qu'on l'a joué lorsqu'il voit Marianne embrasser l'homme qu'elle prétendait être
son frère.
li abat son rival puis la jeune
femme et téléphone ensuite à la police.
Puis, le visage peint en bleu, il se barde d'explosifs auxquels il met le feu.
LA PETITE HISTOIRE
« De PIERROT LE FOU, déclare J.-L.
Godard, je voulais faire un petit film avec
Michel Piccoli et Sylvie Vartan, elle n'a pas
pu.
Alors Belmondo m'a permis de faire un film avec plus de moyens; ça compte l'argent
qu'une vedette amène.
» Le film, présenté
au Festival de Venise, suscite de vives polé
miques.
Aragon, dans un très long article
publié dans les Lettres Françaises du 9-15
septembre 1965 et intitulé « Qu'est-ce que l'art Jean-Luc Godard» prend la défense du film: «j'aime le langage et c'est pour ça
que j'aime Godard.
Qui est tout langage»
et il précise plus loin: «ce qu'on lui reproche
surtout à Godard ce sont les collages parlés ».
On peut reconnaître en effet au début du fifm c; un extrait de «l'histoire de l'art» d'Elie;;, Faure (lu off par Pierrot), des citations de ., « Guignol's band» de Céline ...
Et aussi de 'ii nombreuses références au monde de la publi- :§ cité, de la B.D.
ou de la peinture (Renoir, _
Picasso ...
).
Le réalisateur américain Samuel " Fuller joue son propre rôle (tout comme ~ Fritz Lang dans LE MÉPRIS) dans la scène ~ de la soirée mondaine.
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