Philo sociologie David Émile Durkheim
Publié le 10/06/2024
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«
Devoir maison n°3
1- Questions de cours et organisation d’une réflexion
Question 1 :
David Émile Durkheim est un philosophe du 19ème siècle.
Il est considéré
comme le fondateur de la sociologie moderne.
Pour mieux comprendre ses thèses,
il faut d’abord définir la sociologie.
La sociologie désigne la science qui étudie
l’homme dans son rapport à l’autre.
Son objectif est de comprendre les faits
sociaux, les liens entre les individus, leurs comportements… .
Durkheim a alors
essayé de comprendre l’individu, ses comportements, sa réflexion et sa place dans
la société.
Dans Les Règles de la méthode sociologique, il démontre que rien en
moi n’a été construit par moi.
Ceci signifie donc que l’être humain n’est pas l’acteur
de lui-même.
Mais bien, le spectateur de ce qui se passe en lui ( réflexions, avis,
sentiments).
Nous pouvons alors nous demander qui sont les acteurs qui nous
construisent ?
Dans un premier temps, nous pouvons nous dire que si ce n’est pas nous, être
humain, ce sont des acteurs extérieurs.
Dans Les Règles de la méthode
sociologique, il dit « de ma tâche de frère, d’époux ou de citoyen, quand j’exécute
les engagements que j’ai contracté ».
Les mots importants à souligner sont tâche et
engagement.
Ce que Durkheim nous explique est que chaque individu à des
contraintes et des impératifs, de même que des devoirs.
Celles-ci nous sont
imposées par notre rang social.
Chaque individu possède un rang social différent
donc des impératifs différents.
Prenons l’exemple d’un paysan et d’un président, ils
n’ont pas du tout, les même devoirs et les même droits.
Notre place sociale nous
définit donc.
Ceci entraînera aussi nos opinions, nos actions, nos pensées...
Car
chaque milieu social a ces propres codes.
Nous sommes alors déterminer à être ce
que nous sommes par notre statut social.
En effet, notre situation dans un groupe
social donné détermine un ensemble d’habitude que nous avons intériorisé.
Pour
illustrer notre propos, nous pouvons prendre l’exemple de Cosette dans Les
Misérables, de Victor Hugo publié en 1862.
Cosette est le parfait exemple pour
montrer cela.
Car un individu évolue au fur et à mesure des places sociales qu’il
occupe.
Au début du roman, Cosette est jeune femme mal traitée par Mme
Thénardier, qui la réduit à faire du ménage.
Puis elle va faire la rencontre de Jean
Valjean.
Cette rencontre va changer sa vie et la faire changer de classe sociale.
Ce
changement de place sociale entraîne aussi un changement de comportement car
les impératifs et les devoirs ne sont plus les mêmes.
De plus, nous pouvons nous appuyer sur l’extrait suivant provenant du texte Les
Règles de la méthode sociologiques, « car ce n’est pas moi qui l’ai faits, mais je
les ai reçus par l’éducation ».
Cette phrase renforce l’idée que pour Durkheim ce
sont des agents extérieurs qui nous construisent.
Ici, notre éducation nous est
transmise par d’autres individus.
L’être humain assimile et copie ses pairs.
De plus, depuis la naissance, nous sommes pré-formatés par ses normes sociales
qui nous sont inculquées depuis la petite enfance.
Nous sommes le résultats de multiples influences que nous n’avons pas choisit.
Tous nos avis, nos goûts, nos opinions ne sont que le résultat d’actions antérieures.
Alors nous pouvons nous poser les questions suivante : Avons nous réellement
aucune volonté sur nos action ? Pouvons nous effectué librement nos actes ?
Une théorie philosophique répond à ces questions.
Elle se nomme le
déterminisme.
Le Déterminisme suppose que toute action est produite par une
cause antérieur à notre volonté.
De plus elle soutient que la liberté individuelle
n(existe pas.
Donc si tel est le cas, aucun de nos actes n’est effectué librement.
Par
conséquent, sommes nous libre de nos propre choix ?
Ces théorie remet donc en questions la liberté de l’être humain.
La liberté est un
pouvoir propre à l’être humain d’être cause première de ses actes et de choisir
entre bien et mal.
De ce fait la liberté individuelle sont des liberté que l’individue
exerce seul ( liberté d’opinion, la liberté d’expression, la liberté de religions).
Comme nous l’avons vu au dessus nous somme conditionné par des actions
antérieur.
Nous somme les résultats de multiples facteurs que nous n’avons pas
choisit.
Si nous sommes pas acteur de ces actes mais bien le spectateur de celle ci
notre liberté est donc remise en question.
Car pour être libre il faut vouloir et
choisir, cependant nous ne pouvons pas choisir dans qu’elle classe sociale nous
sommes nés.
Ni choisir nos professeurs qui vont avoir une éducation, un
enseignement qui vont nous formatés.
Tous ceci correspond au déterminisme
socio-économique.
Le déterminisme socio-économique montre que l’individu ne
possède pas de liberté individuelle.
De plus nous pouvons nous appuyer sur le déterminisme biologique.
Nous avons vu que une des liberté individuelle est la liberté d’opinion.
Cependant
pour Nietzsche notre pensée n’est que le résultat d’acteur extérieur ( pulsions,
entourage, instinct).
Ce qui ce passe en nous sans nous.
Pour Nietzsche il faudrait
dire « ça » pense et non « je » pense.
Si nous ne pensons pas par nous même
comment pouvons nous être maître, donc comment pouvons nous être libre.
Nous
n’avons donc pas de liberté d’opinion donc pas de liberté individuelle.
Pour illustrer notre propos nous pouvons prendre comme exemple la série « The
crown ».
Car les personnes de la famille royales montre que le déterminisme
existe.
Dans un premier temps ils sont eux car ils sont née dans la famille royale.
Nous pouvons ici parler du déterminisme génétique, géographique et sociale.
Car
ce sont les actions antérieurs qui les définissent.
Nous ne choisissons pas dans
qu’elle famille nous naissons.
De plus ils sont certaines opinions par leurs classe
sociale.
Si il n’avaient jamais était roi et reine ( cause antérieur ) ils ne penseraient
pas comme ça.
Enfin pour comprendre nos volontés et nos actions il faut remonter aux causes qui
nous déterminent.
Nous ne possédons donc pas de liberté individuelle.
Mais y a t-il une limite à cette théorie.
Somme nous que passé sans que le présent
influe ?
Sartre démontre qu’une limite à la théorie de Durkheim existe.
Il soutient
cette thèse dans L’existentialisme est humanisme.
Pour Sartre nous somme des
être libre.
La première question que nous pouvons nous poser est comment
pouvons nous être libre alors que le passés existe ?
Sartre nous expose que c’est nous être humain qui devons donné la signification
que l’on souhaite à notre passé.
Sartre ne nie pas que le passé est en nous.
Cependant pour Sartre le passé ne nous définit pas.
Il le nomme « situation ».
Pour
lui notre passé est un socle sur le qu’elle ce construit le présent.
Donc l’être
humain.
Pour Sartre nous pouvons modifié l’influence de notre passé, voir le niée.
Pour Sartre il est important de faire la distinction entre passé et le présent.
Nous
pouvons nous construire dans la mesure ou nous traitons notre passé comme
passé.
C’est donc pour cela que nous devons assumer tous nos actes.
Car pour
Sartre vu que nous sommes présent, nous faisons le choix de faire des
inintelligences.
En temps qu’individue libre nous faisons nos propre choix de notre
pleins gré.
Notre passé ne doit en aucun cas être excuse, car c’est nous même qui
donnons le sens que le veux à celui ci.
Pour Sartre c’est le présent qui nous définit une fois que nous avons réduit le passé
à néant.
Pour Sartre l’homme est un projet.
Ce projet est en perpétuelle
changement grâce au choix délibéré que nous faisons dans le présent.
Nous
pouvons retrouver ce concept dans la citation suivante extraite de L’existentialisme
est humanisme, « L'homme est d'abord ce qui se jette vers un avenir, et ce qui est
conscient de se projeter dans l'avenir.
» .
Nous ne sommes pour Sartre que le
résultats de facteur présent et d’imagination.
Notre projet, notre façon d’agir, c’est
cela qui nous définit.
De même que nous pouvons décider de définir comme nous
le souhaitons notre passé.
Mais alors si le passé n’est plus ce qui nous constitue
comment le présent peut-il le faire ?
Pour Sartre c’est ce que nous voulons faire actuellement qui nous définit.
Pour lui
le passé n’est pas des barrière mais au contraire.
Le passé peux nous pousser à
choisir dans le présent un nouvel avenir.
Le présent joue un rôle fondamental dans
la construction d’un être.
Pour lui c’est le « je choisit » donc « je suis libre » qui est
au cœur de sa réflexion.
En outre bien que nous possédons des caractéristiques qui s’imposent à nous,
nous ne sommes pas déterminés à l’avance, mais nous inventons notre nature (ou
essence).
C’est ce qu’exprime la phrase suivante écrit dans L’existentialisme est
humanisme de Sartre, « l’existence précède l’essence ».
Ce que veux dire Sartre,
c’est que l’homme doit d’abord agir, faire des rencontre, être libre.
Ce n’est
qu’après cela que son essence ( personnalité, opinion …) se créeras.
Pour illustrer nos propos nous allons relater....
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