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PHILIPPE II AUGUSTE (21 août 1165-14 juillet 1223) Roi de France (1180-1223) Fils de Louis VIIF030 et d'Adèle de ChampagneF034B, Philippe vient d'avoir quinze ans lorsqu'il monte sur le trône.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : PHILIPPE II AUGUSTE (21 août 1165-14 juillet 1223) Roi de France (1180-1223) Fils de Louis VIIF030 et d'Adèle de ChampagneF034B, Philippe vient d'avoir quinze ans lorsqu'il monte sur le trône. Ce document contient 1172 mots soit 3 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« PHILIPPE II AUGUSTE (21 août 1165-14 juillet 1223) Roi de France (1180-1223) Fils de Louis VII et d' Adèle de Champagne , Philippe vient d’avoir quinze ans lorsqu’il monte sur le trône.

Il est déjà très aimé par ses sujets qui ont pu apprécier sa précoce maturité : depuis un an, son père malade lui avait presque abandonné le pouvoir.

Cette maturité se confirme par son premier acte de roi.

Il épouse Isabelle de Hainaut , nièce de son tuteur, le puissant comte de Flandre, Philippe d’Alsace.

Mariage politique d’une portée considérable qui scelle son union avec une descendante directe de Charlemagne .

En l’épousant, Philippe greffait la dynastie capétienne sur la dynastie carolingienne .

De son illustre ancêtre par alliance, Philippe a l’ambition et la prudence, l’intelligence et la rapidité de jugement, la ténacité et la ruse.

Ne dédaignant ni l’intrigue ni l’art de se servir des gens, ni la négociation plutôt que la guerre, c’est avant tout un politique, au sens moderne du mot.

Ainsi, il mène d’abord une action armée puis une longue procédure pacifique pour obtenir de Philippe d’Alsace les territoires promis en dot à sa femme ou lui revenant par héritage : l’Amiénois, le Vermandois, l’Artois, puis le Valois.

Ces provinces accroissent sensiblement le domaine royal, dont les possessions recouvraient essentiellement l’Ile-de-France.

Dès le début de son règne, le roi s’attache à étendre et à unifier son domaine, mais aussi à défendre le royaume des ambitions des grands “ barons ”. La plus redoutable menace vient de son vassal Henri II Plantagenêt, également roi d’Angleterre.

Pour l’affaiblir, Philippe Auguste exploite savamment l’avidité de ses fils contre lui.

Il soutient militairement Geoffroi, puis Richard, dit C œ ur de Lion.

Une dernière révolte de Jean, le préféré d’Henri II, va causer le désespoir du roi d’Angleterre et précipiter sa mort.

C’est Richard qui lui succède (1189).

Pendant un temps, l’amitié semble rapprocher Philippe Auguste et Richard.

A l’appel de l’archevêque de Tyr, ils entreprennent ensemble la troisième croisade , à laquelle se joint l’empereur de Germanie, Frédéric Barberousse.

Echaudé par les malheureuses expériences précédentes, on prépare longuement l’expédition.

Ce n’est plus une cohue mais une véritable armée qui s’embarque pour délivrer Jérusalem de l’emprise du. »

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