Peut-on en finir avec les préjugés ?
Publié le 12/07/2020
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Peut-on en finir avec les préjugés ?. Ce document contient 565 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Philosophie.
« L'individu peut être victime de préjugés : c'est que ces derniers doivent être attirants. Est-ce leur séduction qui leur permet de se maintenir ou de se renouveler comme autant de défis à la vérité ? Qu'est-ce qu'un préjugé ? Définition du préjugé ? Pré-jugé signifie « jugé avant (toute réflexion), jugement prématuré ou hâtif ». ? C'est une opinion, plus ou moins fondée, qui se présente comme vérité incontestable et relève de la croyance - d'où sa force et sa résistance. Le préjugé se passe de la réflexion ? Un préjugé est « adopté », jamais découvert. Il apporte ainsi une réponse rapide ou immédiate à la situation, et se trouve éventuellement renforcé par l'expérience du moment. ...»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Grand oral llce: Est-il possible de déconstruire les préjugés de notre société afin de se construire soi-même ?
- Adaptations Orgueil et Préjugés
- « Je n'arrive pas à considérer le théâtre comme une façon d'amuser, de distraire ; je préfère le considérer comme un moyen de libération de préjugés, d'injustices. »
- Montesquieu écrit dans la préface de l'esprit des Lois: j'ai d'abord examiné les hommes... Je n'ai pas tiré mes principes de mes préjugés, mais de la nature des choses. Les méthodes pratiquées par lui, des Lettres Persanes à l'esprit des Lois, vous semblent-elles correspondre à cette déclaration ?
- Vous mettez en garde vos concitoyens sur les risques actuels de la vanité, des paillettes et des mondanités. Vous écrivez tout d'abord un portrait ou une fable en prose, puis vous transformerez ce texte long en pensée, plus brève, mais encore argumentée, pour finir par l'écriture d'une maxime, lapidaire et impitoyable.