Peut-on améliorer un mouvement volontaire ?

« Peut-on améliorer un mouvement volontaire ? Intro : Dans les temps anciens, les savants affirmaient que l'activité spirituelle se déroulait dans le cœur.

Ils avaient comme preuve l’accélération émotionnelle du cœur.

C'est Galien qui a prouvé expérimentalement deux siècles plus tard que le cerveau était impliqué.

Il faudra attendre le XXe siècle et le développement de techniques expérimentales de plus en plus puissantes pour qu'on essaye enfin de mieux comprendre les processus impliqués dans les processus mentaux, notamment les mouvements involontaires. Le mouvement volontaire est commandé par le cerveau, grâce au fonctionnement du cortex moteur.

Mais ces mouvements peuvent être amélioré à force de les travailler, pour affirmer cela nous allons donc répondre a la problématique suivante : Peut-on améliorer un mouvement volontaire ? Pour y répondre, nous allons diviser notre développement en deux partis la première étudiera le cerveau et la deuxième expliquera l’amélioration des ces mouvements. l.

Le cerveau, centre nerveux : Le cerveau constitue le centre de contrôle du corps humain, Il est composé à parts égales de deux types de cellules : les neurones et les cellules gliales.

Les neurones sont spécialisés dans la génération et la transmission du message nerveux, tandis que les cellules gliales assurent le bon fonctionnement de ces neurones.

Elles assurent leur nutrition, la stabilité du milieu extracellulaire (élimination des déchets, protection contre les pathogènes), ainsi que la production de myéline (lipide entourant certains axones et accélérant la transmission nerveuse).

Le cerveau gère tout ce que nous faisons.

Que l’on soit en train de penser, de rêver, de faire du sport, ou même de dormir.

Chaque partie du cerveau à des tâches particulières à réaliser, ce qui fait de lui un processeur ultime. Dans chaque hémisphère, nous avons le cortex cérébral, la partie du cortex qui contrôle directement la motricité volontaire.

Chaque partie de la zone motrice primaire contrôle le mouvement d'une partie spécifique du corps.

Plus la motilité de cette partie du corps est complexe, plus la zone qui lui est dédiée est grande. Dans la moelle épinière, les extrémités des neurones pyramidaux font synapse avec les corps cellulaires des motoneurones.

Selon la force de l'information neuronale du neurone pré-synaptique, les neurotransmetteurs sont libérés dans la fente synaptique.

Leurs connexions aux motoneurones assurent la transmission des informations neuronales.

Un motoneurone entre en contact avec de nombreuses synapses, certaines excitatrices et d'autres inhibitrices ; il intègre toutes les informations neuronales qu'il reçoit par sommation.

Cela peut être spatial (intégration de différentes informations neuronales provenant de différentes synapses en même temps) ou temporelle (intégration de différentes informations neuronales provenant de la même synapse sur une certaine période. »