Peut-on affirmer que, dans Le Survenant, la vie sédentaire est idéalisée ?
Publié le 03/04/2022
Extrait du document
«
Oui, la vie sédentaire est idéalisée.
Un sentiment d’amour et de fierté pour la terre,
illustre le mode de vie sédentaire.
Sous-argument 1 : Le père Didace éprouve de
l’amour et de fierté pour ses terres.
Preuve : « …Quand il avait pris possession de la
terre ancestrale, puis à la naissance de son fils, un
sentiment de durée de plénitude, l’avait pénétré
jusque dans sa substance même : la force
tranquille de l’arbre qui, à chaque jour, à chaque
heure, à chaque instant enfonce ses racines plus
avant dans le sol… » (p.80).
Sous-argument 2 : Pierre-Côme Provençal est
rattaché à ses terres.
Preuve : « …- Lui, c’est le vrai cultivateur! Quatre
garçons, quatre filles tous attachés à la terre,
toujours d’accord.
Ça pense jamais à s’éloigner ni à
gaspiller.
Et l’idée rien qu’à travailler et à agrandir
le bien… » (p.157).
Sous-argument 3 : Depuis, les ancêtres du côté des
femmes des Beauchemin, n’ont pas peur du travail
sur la terre.
Preuve : « Les femmes de la famille Beauchemin,
depuis l’ancêtre Julie, puis ses tantes, puis sa
mère, puis ses sœurs, sa femme ensuite jusqu’à sa
fille Marie-Amanda (…) Elles ont toujours à.
»
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