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PEINTURE: Mme Vigée-Lebrun (1755-1842)

Publié le 09/12/2021

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Cette femme peintre s'est fait connaître par ses talents de portraitiste, mais sa célébrité est aussi due au fait qu'elle fut le peintre attitré de la reine, Marie-Antoinette, et son amie. Ce qui l'obligea à quitter la France à la Révolution. Des professeurs prestigieux. Elisabeth-Louise Vigée, après un séjour au couvent très jeune, étudia le pastel avec son père, le portraitiste Louis Vigée (1715-1808), puis elle eut comme professeur Vernet et Greuze. Le portrait était alors à son apogée et, à dix-neuf ans déjà, Elisabeth-Louis Vigée était agréée par l'académie Saint-Luc et elle avait déjà une certaine réputation dans ce genre. Après son mariage avec le marchand de tableaux J.-B. Lebrun, en 1776, elle devint peintre de le reine, avant même d'être reçue à l'Académie royale de peinture (1783). Elle réalisa plus d'une trentaine de portraits de Marie-Antoinette et de ses enfants.

« Mme Vigée-Lebrun (1755-1842) Cette femme peintre s'est fait connaître par ses talents de portraitiste, mais sa célébrité est aussi due au faitqu'elle fut le peintre attitré de la reine, Marie-Antoinette, et son amie.

Ce qui l'obligea à quitter la France à laRévolution. Des professeurs prestigieux. Elisabeth-Louise Vigée, après un séjour au couvent très jeune, étudia le pastel avec son père, le portraitiste LouisVigée (1715-1808), puis elle eut comme professeur Vernet et Greuze.

Le portrait était alors à son apogée et, à dix-neuf ans déjà, Elisabeth-Louis Vigée était agréée par l'académie Saint-Luc et elle avait déjà une certaine réputationdans ce genre.

Après son mariage avec le marchand de tableaux J.-B.

Lebrun, en 1776, elle devint peintre de lereine, avant même d'être reçue à l'Académie royale de peinture (1783).

Elle réalisa plus d'une trentaine de portraitsde Marie-Antoinette et de ses enfants. L'exil. A l'approche de la Révolution, en 1789, Mme Vigée-Lebrun préféra quitter la France; on raconte qu'un certainportrait de Marie-Antoinette, garni de crêpe noir, constitua pour elle, pendant dix ans d'exil, une "carte de visite" quilui ouvrit les portes de l'élite princière européenne.

Elle fut reçue avec les honneurs à Rome, Naples, Vienne, Berlin,Saint-Pétersbourg et Moscou, restant à la cour de Russie de 1795 à 1802.

Elle rentra à cette date à Paris, puisrecommença à voyager, en Italie et en Hollande.

Interdite sous l'Empire, elle s'installa en Suisse, où elle rejoignitMme de Staël.

Sous la Restauration, elle retrouva une place importante dans les arts, cette fois par son salon quefréquentèrent notamment Balzac, Vernet et Gavarni.

Mme Vigée-Lebrun a laissé des Souvenirs (1835-1837). Témoignage. "Franklin, en domptant la foudre, ôte à la superstition le droit de crier au miracle à chaque orage.

Mais cetaffranchissement, dans l'intention de ses instigateurs, ne devrait pas vouer les individus à la solitude: tout aucontraire, ils vont pouvoir se reconnaître et se rencontrer sous la lumière égale d'une raison commune à tous.L'individu, en s'affirmant librement, ne s'isole pas dans sa singularité: il ne goûte sa liberté qu'en se communiquant.C'est à quoi l'on doit la perfection, en ce siècle, de tous les arts où, à l'intention des autres et sous condition deréciprocité, l'être individuel se définit, s'explique, s'impose : la lettre, la conversation, le portrait." Jean Starobinski,L'Invention de la Liberté, 1964. »

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