PAUL ÉLUARD
Publié le 15/05/2020
Extrait du document
«
PAUL ÉLUARD
Les premiers poèmes d'Éluard, recueillis dans Capitale de la douleur (1926), L'Amour, la Poésie (1929), La Vieimmédiate (1932), La Rose publique (1934), Les Yeux fertiles (1936), illustrent, par de perpétuels chevauchementsentre le monde réel et le monde du rêve, l'attitude surréaliste.
Puis Éluard renonce à une inspiration uniquementsubjective : ses derniers recueils le montrent profondément engagé dans la résistance nationale ou les bataillespolitiques.
Paul Eluard est un poète-né, au regard limpide et à la voix pure.
Sa poésie, proche de la sensationprimitive, traduit son intimité avec la nature, avec les objets, avec un être cher.
Qu'elle chante l'amour ou la liberté,elle révèle la ferveur d'une âme accueillante et généreuse.
Avec des mots très simples, mais harmonieusementassociés, elle énonce un message de communion :
Comme le jour dépend de l'innocenceLe monde entier dépend de tes yeux pursEt tout mon sang coule dans leurs regards..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Lecture Linéaire, Notre Vie de Paul ÉLUARD
- Paul Éluard (Capitale de la douleur, 1926) : « La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur... »
- Paul ÉLUARD : Les Dessous d'une vie, « La Dame de carreau».
- Paul Éluard par Claude Roy Paul Éluard est né à Saint-Denis.
- Par quelle figure de style Paul Éluard effectue-t-il un rapprochement entre les dormeurs et le monde minéral dans l'extrait suivant?