oral bac francais sur le Parfum de Patrick Süskind

« J’ai choisi le roman, Le parfum de l’écrivain l’allemand Patrick Süskind paru en 1985. Ce livre est un succès car il a été traduit en quarante-huit langues, vendu à vingt millions d'exemplaires et adapté au cinéma. Au XVIIIe siècle à Paris, pendant la Révolution française, Jean-Baptiste Grenouille est un jeune homme doté d'un sens de l'odorat extraordinaire.

Le roman explore les aspects sombres de la société française, mettant en avant la pauvreté et l'insalubrité. La quête obsessionnelle de Grenouille pour créer le parfum parfait constitue le thème central de l'histoire.

Il est prêt à utiliser des méthodes extrêmes, allant jusqu'au meurtre de jeunes femmes, pour obtenir les ingrédients nécessaires.

La solitude et l'isolement caractérisent Grenouille, qui est rejeté par la société en raison de son apparence physique et de son comportement étrange.

Le roman décrit Paris comme une ville malodorante, où la pauvreté et la misère sont omniprésentes. Jai d’abord aimé l’intrigue avec la quête obsessionnelle de Grenouille pour créer le parfum ultime, ce qui lui amène à commettre des actes sinistres.

Je l’ai trouvé intrigante et elle a captivé mon attention des lecteurs. J’ai également aimé la plume de l’auteur qui décrit le cadre, les émotions et les odeurs de façon précises avec un langage évocateur et des métaphores afin que l’on puisse s’imagine les scènes le mieux possible. J’ai apprécié la complexité du personnage principal, Jean-Baptiste Grenouille qui est un personnage complexe que j’ai trouvé très intéressant car il est à la fois fascinant par son odorat unique et effrayant par sa quête obsessionnelle pour créer le parfum parfait.

Malgré ses actions répréhensibles, il suscite parfois une certaine empathie ou une réflexion sur la nature humaine. Enfin cette histoire a des thèmes universels intéressants la quête de l'identité, la nature humaine, la beauté, le pouvoir et l'obsession.

Ils suscitent la réflexion sur la condition humaine - Que savez-vous de l’auteur et de la réception de cette œuvre ? Patrick Süskind est un écrivain et scénariste allemand.

Il a publié d’autres roman mais Le Parfum est son plus grand succès.

Avant cela il a écrit des scénarios pour la télévision et le cinéma.

L’œuvre quant-à-elle a eu un de bonnes critiques et a remporté plusieurs prix littéraires.

elle a été traduite dans le nombreuses langues et a été adaptée au cinéma. - Quelles émotions/réactions la lecture de cette œuvre a-t-elle suscitées en vous ? Cette lecture m’a suscité de la curiosité à cause du personnage étrange de JeanBaptiste grenouille.

Le roman très perturbant et dérangeant, en raison de la violence et de la cruauté des actes commis par Grenouille, le personnage principal.

Mais aussi surprenant en voyant jusqu’à ou le personnage principal pouvait aller pour obtenir son parfum parfait.

Il m’a suscité un peu de tristesse en voyant toutes les jeunes filles qu’il a tué juste pour son intérêt personnel pour sa quête du parfum parfait.

Enfin, le roman peut également être fascinant et captivant, en raison de la complexité et de l'originalité du personnage de Grenouille, ainsi que de la richesse des descriptions sensorielles. - Pouvez-vous faire le lien entre le roman et le parcours « personnages en marge, plaisirs du romanesque » ? On peut faire le lien entre le parcours et la marginalité du personnage principal.

En effet, Jean-Baptiste Grenouille peut être qualifie de marginal car il est rejeté par la société et ce dès son enfance lorsqu’il est chez une nourrice, autres enfants le rejettent en lui faisant subir des violences physiques et en essayant même de l'étouffer.

Et lorsque qu’il va habiter seul dans sa grotte pendant 7 ans ne supportant plus l’odeur humaine.

Il est également incapable de ressentir la moindre émotion. - Pouvez-vous faire un parallèle entre le roman et Manon Lescaut ? On retrouve comme dans Manon Lescaut le personnage de Jean Baptiste Grenouille qu’on peut qualifier de marginal comme Des Grieux dans Manon Lescaut.

Ce sont tous les deux des hommes qui n’ont pas beaucoup.... »