oraison.
Publié le 08/12/2021
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oraison. n.f., prière et, par extension, toute forme de discours public. Prononcée
sous la forme d'un « éloge » lors des funérailles d'un personnage illustre, l'oraison
funèbre est à la fois religieuse et d'une éloquence toute rhétorique. Déjà en vigueur à
Athènes, d'après Thucydide, et pratiquée à Rome par Cicéron, l'oraison funèbre devint
au XVIIe siècle, avec Bossuet, un genre littéraire à visée morale et universelle. Mais les
continuateurs du genre (Louis Bourdaloue, Esprit Fléchier, Jean-Baptiste Massillon) firent
triompher une éloquence plus mondaine. Après Henri Lacordaire (1802-1861), l'un des
chefs de file du catholicisme libéral, l'oraison funèbre perdit sa valeur sacrée et littéraire.
oraison. n.f., prière et, par extension, toute forme de discours public. Prononcée
sous la forme d'un « éloge » lors des funérailles d'un personnage illustre, l'oraison
funèbre est à la fois religieuse et d'une éloquence toute rhétorique. Déjà en vigueur à
Athènes, d'après Thucydide, et pratiquée à Rome par Cicéron, l'oraison funèbre devint
au XVIIe siècle, avec Bossuet, un genre littéraire à visée morale et universelle. Mais les
continuateurs du genre (Louis Bourdaloue, Esprit Fléchier, Jean-Baptiste Massillon) firent
triompher une éloquence plus mondaine. Après Henri Lacordaire (1802-1861), l'un des
chefs de file du catholicisme libéral, l'oraison funèbre perdit sa valeur sacrée et littéraire.
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