Nouvelle-Zélande (2004-2005): Un nouvel esprit océanien
Publié le 20/09/2020
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Nouvelle-Zélande (2004-2005): Un nouvel esprit océanien. Ce document contient 785 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en: Histoire-géographie.
«
En 2005, année d’élections (prévues au plus tard en septembre), Michael Cullen,
ministre des Finances, a prudemment aligné le budget sur les estimations du FMI
qui prévoyait un ralentissement significatif de la croissance (environ 2,8 %
pour la période 2005-2006, contre 4,8 % en 2004).
La baisse de la consommation
intérieure en serait la principale cause.
Sur la scène internationale, la Nouvelle-Zélande, contrairement à l’Australie
pro-américaine du conservateur John Howard, s’est faite l’avocat du
multilatéralisme, tout en affichant une eurosympathie ostensible.
Sur le plan
régional, elle joue, avec l’Australie, un rôle clé dans les réformes nécessaires
au sein du Forum des îles du Pacifique.
Helen Clark, Premier ministre
travailliste, considère que la mise en commun de moyens régionaux au service des
grands principes d’un Forum réformé constitue « la seule voie de salut » pour
les petits pays insulaires du Pacifique.
La France, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, s’inspirant d’un modèle d’accord
déjà mis en place en 1993 dans le domaine des secours aux populations des pays
insulaires voisins touchés par des catastrophes naturelles, ont proposé au
Forum, en avril 2005, une « police océanienne des pêches » censée mieux protéger
les ressources halieutiques (principalement en thon) de ce vaste océan, menacées
par les captures illégales.
Phil Goff, ministre des Affaires étrangères et du Commerce, estimait début 2005
que la présence française dans le Pacifique, à travers ses trois dépendances
(Nouvelle-Calédonie, Polynésie française, Wallis et Futuna), constituait un «
facteur positif de stabilité » dans cette région.
Il est vrai que dans sa proche
région Wellington bénéficie d’échanges commerciaux largement en sa faveur avec
ces collectivités françaises : P.
Goff a conduit, en avril 2005, une importante
délégation à Nouméa et à Papeete.
De nouveaux contrats, d’une valeur totale
estimée à 2,2 millions de dollars néo-zélandais (environ 1 million d’euros), ont
été signés ; d’autres, d’une valeur totale de 16 millions de dollars
néo-zélandais, semblaient par ailleurs en cours de négociations et pourraient
aboutir d’ici 2007..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Équateur 2004-2005: Nouvelle démission présidentielle
- Chine: 2004-2005 - La nouvelle équipe dirigeante en phase de consolidation
- Bosnie-Herzégovine (2004-2005) Nouvelle phase du processus de paix
- Papouasie-Nouvelle-Guinée (2004-2005)
- Nouvelle-Calédonie (2004-2005)