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Nouvelle-Calédonie (1994-1995)

Publié le 20/09/2020

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« Ce territoire d'outre-mer (TOM) français a connu en 1994-1995 plusieurs conflits sociaux dans le port de Nouméa, mettant en question le mode de recrutement des dockers dans les conditions actuelles d'activité du port.

Les principaux partis ont annoncé leur position quant à l'avenir du territoire, à moins de quatre ans du référendum de 1998 devant statuer sur cette question.

Prévue dans les accords de Matignon, signés en juin 1998 entre les représentants du gouvernement français, des partisans du maintien de la Calédonie dans la République et des indépendantistes, cette consultation doit permettre aux habitants du territoire de décider de leur avenir politique. En septembre 1994, Jacques Lafleur, président du RPCR (Rassemblement pour la Calédonie dans la République), a proposé un pacte trentenaire de paix institutionnelle.

Les élections provinciales du 9 juillet 1995 ne lui ont toutefois pas été favorables: le RPCR a perdu cinq sièges et la majorité absolue au Congrès du territoire, et le FLNKS (Front de libération nationale kanak et socialiste), deux.

Lors de son vingt-cinquième congrès, en novembre 1994, l'Union calédonienne (UC, indépendantiste) s'était prononcée pour le transfert, dès 1995, d'éléments de souveraineté aux assemblées délibératives locales.

En décembre, le quatorzième congrès du FLNKS (dont l'UC est la plus importante composante) a admis qu'il fallait éviter un "référendum-couperet" en 1998. Lors des élections présidentielles françaises du 23 avril et du 7 mai 1995, le nouveau président Jacques Chirac a réalisé, au premier tour, un score de 42,97%, contre 15,87% au candidat du Parti socialiste Lionel Jospin, importante avance confirmée au second tour avec 74,10% pour le premier et 25,89% pour le second.. »

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