Nous commencerons par ce lexique guerrier, métaphores militaires , métaphores du combat quicaractérisent l'action thérapeutique, l'organisation de la lutte contre le cancer mais aussil'engagement du patient contre la maladie depuis le début du 20ème siècle.

« Nous commencerons par ce lexique guerrier, métaphores militaires , métaphores du combat qui caractérisent l'action thérapeutique, l'organisation de la lutte contre le cancer mais aussi l'engagement du patient contre la maladie depuis le début du 20ème siècle. Cette métaphore militaire , du combat a été inauguré par le domaine médicale et celui des associations ( qui se sont développé au début des années 30 au début du 20eme siècle ) , ce qui est étonnant c'est le succès puisque 'elle sont toujours présente dans la pensées scientifique : ex titre du journal du CNRS de novembre 2009 , num 238 : «cancer : la recherche durcit le combat». On a donc des textes médicaux des textes scientifiques , une presse grand publique qui utilise depuis plusieurs décennies la métaphore de la guerre autour de la lutte la croisade , le bombardement par les rayons , l'arsenal thérapeutique , l'arme contre le cancer quand on observe l'évolution du vocabulaire on constate qu'il a évolué parallèlement avec la guerre moderne ainsi avec l'apparition de la thérapie génique la vulgarisation médicale et scientifique et médias ont commencé a parlé d'arme propres, orienté sélectives a l'image de guerres qui serait propres au 21eme siècle et donc lexique guerrier et allégorie du combat semble être les seuls a servir pour caractériser l'action thérapeutique , l'organisation de la lutte contre le cancer et l'engagement de la lutte contre la maladie . Ex : « pour vaincre la maladie c'est 50 % médecin 50 % morale, lutter , ne pas se laisser aller . Patrick Ben-Soussan s'est demandé comment dépasser cette approche belliqueuse , il est un des premiers a pointer cette exigence , en 2004 « le cancer est un combat : même pas vrai ou il se posait la question peut on guérir sans combattre ou peut on vivre sans être en guerre constante , l'idée qu'il était un des premiers a formuler c'était de ne plus considérer le cancer comme un combat et tenter de s'affranchir ces liens terribles entre guerre et vies , il disait ne pas aimer beaucoup le terme de survit et de survivant et il était bien pour lui question de vie mais qui n'exclut pas la souffrance le mal la peur l'angoisse, et il ,n'exclut pas la mort , « elle l'a réinterroger au plus prés, au plus vrai de soi « Philippe bataille a écrit « un cancer Patrickie « d'autrevolontéabbatialederrière il n'est pas tout a fait d'accord avec Patrick, il indique que tout dépend de ce que l'on met derrière le terme se battre et qu'il a compris en écoutant que plusieurs centaines de personnes atteintes de cancer que l'important est de ne pas se laisser abattre et de retourner vers le soins alors que l'on se penser guérit , demande une certaine volonté et courage , il n'y a pas vraiment d'autre mot mais il faut se comprendre. Il dit quand même que l'image du soldat héroïque est dépassé et écrit et c'est seulement pour cela que l'on a pu prendre en compte la douleur et effectivement , c'est depuis peut , 15 ans que l'on prend sérieusement la douleur des patient pour Philippe bataille avoir un bon morale c'est important . Sur le morale quelque chose de pertinent chez bataille : le morale est surtout un produit sociale , : ce n'es pas la traduction 'une courbe médicale mais pas seulement de l'ordre de la volonté individuelle. On en vient a son étude « un cancer et la vie » qui est le résultat d'une en quette sociodrame qualitative qui a duré 3 ans et qui a été mené dans différentes région de France et particulièrement dans le nord pas de calais . Pour prés de centaines de personnes qui on été ou qui sont encore malades du cancers. Ce qu'il voulait faire comprendre c'est vraiment la dimension sociale de la maladie , le plus souvent abordé sous ses aspects médicaux techniques ou psychologiques. Philippe bataille disait au moment de la publication de son livre combien le cancer s'est construit comme un fléau . C'est une pathologie croissante , en 2009 c'est la premier pathologie en France 346932 nouveaux cas en 2009 et 1ere cause de la mortalité avec 147239personnes décédés de cancer en 2009; Le livre est tout a fait d'actualité il pose un autre regard sur la maladie cancéreuse en restituant a la fois le vécut intime et sociale d'une maladie acqui est supporté , éprouvé par des hommes et des femmes de tout ages et de toutes catégories socio-professionnelles .. »