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Namibie (2002-2003) Course à la succession

Publié le 20/09/2020

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« Namibie (2002-2003) Course à la succession Le congrès de la SWAPO (Organisation des peuples du Sud-Ouest africain, au pouvoir depuis l'indépendance en 1990) a vu s'affronter les factions en lice pour la succession à la présidence de la République de Samuel Nujoma, qui a renoncé à un quatrième mandat.

Le président a réussi à placer son dauphin Hifikepunye Pohamba à la vice-présidence du parti.

Le tumulte du congrès a néanmoins conduit au renvoi du Premier ministre Hage Geingob (remplacé par Theo Ben Gurirab le 28 août 2002), jugé responsable de la désunion. Les partis d'opposition CoD (Congrès des démocrates) et DTA (Alliance démocratique de Turnhalle), eux-mêmes empêtrés dans des tensions internes, ont tenté de surfer sur cette crise gouvernementale en insistant sur les méthodes «zimbabwéennes» de S.

Nujoma.

Cette démarche a été facilitée par l'attitude du président namibien au Sommet mondial pour le développement durable de Johannesburg en septembre 2002 lorsque celui-ci a reproché au Premier ministre britannique Tony Blair d'avoir «créé la situation au Zimbabwé». À cela s'est ajoutée la morosité économique et sociale.

La Ramatex (entreprise textile à capitaux asiatiques), qui devait permettre de créer de nombreux emplois, s'est trouvée sous le feu de la critique pour sa gestion sociale et les retombées environnementales et sanitaires de son mode de production.

Le gouvernement a minimisé les effets de la sécheresse bien que celle-ci puisse gravement affecter le secteur agricole (deuxième secteur à l'exportation après le secteur minier).

Encore plus alarmante, l'épidémie de sida pourrait entraîner la «disparition» de 30 % de la population active dans les cinq ans.. »

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