Munch - Le Cri
Publié le 18/05/2020
Extrait du document
«
Le cri, Edvard Munch
Œuvre à rapprocher du d ésespoir 1892 et d’Anxi été 1894.
Th
ématique de la terreur, le cri : la peur. Figure qui ressemble à une t ête
de mort, paysage enflamm
é, mouvant, instable.
Isolement de la figure, se tient les oreilles. Figure
éloign ée de la r éalit é.
Terreur venue de l’int
érieur, de l’esprit.
Couleurs expr
éssivement hauss ées. Rouge sang. Paleur du visage.
Mouvement tourbillonnant de la composition,, les traits semblent ondul
és
comme des ondes sonores, vibrtaion. Le cri semble perc
ée la nature.
OU bien c’est la nature qui prend le dessus sur l’homme.
Ext
ériorisation de force et d’energie telle qu’on peut le trouver dans le
tableau de Van Gogh, la nuit
étoil ée.
Fort degr
é émotionnel. Il rend visuel le cri. Peinture sonore.
L’angoisse norv
égienne, tout comme sa contrepartie allemande était
devenue le ma
ïtre mot : Philosophie de Kierkegaard et de Nietzsche. Et
Schaupenauer
M
ême composition dans anxi été, mais ici on n’est pas dans l’horreur
d’un isolement complet mais dans un d
ésespoir collectif
Frise de la vie : signification purement parabolique du caract
ère
transitoire de la condition humaine en pr
ésence des rythmes éternels de
la nature inanim
ée .
A l’age de 26 ans il
écrit : » Nous devrions cesser de peindre des
int
érieurs avec des gens qui lisent et des femmes qui tricotent. Ils nous.
»
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