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MONTESPAN, Françoise Athénaïs de Rochechouart de Mortemart,marquise de(5 octobre 1641-27 mai 1707)DameC'est en 1660 qu'arrive à la cour Françoise Athénaïs de Rochechouartpour y devenir dame d'honneur de la reine.

Publié le 23/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : MONTESPAN, Françoise Athénaïs de Rochechouart de Mortemart,marquise de(5 octobre 1641-27 mai 1707)DameC'est en 1660 qu'arrive à la cour Françoise Athénaïs de Rochechouartpour y devenir dame d'honneur de la reine. Ce document contient 256 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.

« MONTESPAN, Françoise Athénaïs de Rochechouart de Mortemart, marquise de (5 octobre 1641-27 mai 1707) Dame C’est en 1660 qu’arrive à la cour Françoise Athénaïs de Rochechouart pour y devenir dame d’honneur de la reine.

Trois ans plus tard, elle épouse Louis Henri de Pardaillan, marquis de Montespan.

Leur fils, le duc d’Antin, est leur seul enfant.

Sa beauté et son charme, son esprit et ses réparties lui valent de devenir la maîtresse du roi , en 1667.

En 1669 naît le premier des huit enfants qu’elle a du roi .

Cinq d’entre eux survivent et sont légitimés.

En 1676, le 16 juillet , est décapitée et brûlée, à Paris, la marquise de Brinvilliers .

Elle a reconnu ses crimes : elle a empoisonné une partie de sa famille.

L’enquête a éclaboussé la cour.

Des nièces de Mazarin , la comtesse de Gramont, la vicomtesse de Polignac, le maréchal de Luxembourg, le poète dramatique Jean Racine , la duchesse de Bouillon, sont soupçonnés d’avoir eux-mêmes acquis des poisons chez La Voisin , qui a fourni la marquise de Brinvilliers .

Plus grave, la fille de La Voisin affirme, lors d’un interrogatoire à propos de la maîtresse du roi qu’est la marquise de Montespan : “ Toutes les fois qu’elle craignait quelques diminutions des bonnes grâces du roi , elle donnait avis à ma mère, afin qu’elle y apportât quelques remèdes.

” En dépit de l’accusation, la marquise, peu à peu supplantée dans le c œ ur du roi par madame de Maintenon , reste à la cour jusqu’en 1691.

Elle se retire alors au couvent Saint-Joseph qu’elle a fondé rue Saint-Dominique.. »

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