Montaigne, Les Essais , « Des Cannibales », l. 122 à 150 p. 13

« Texte 2 : Montaigne, Les Essais , « Des Cannibales », l.

122 à 150 p.

13 Montaigne auteur humaniste du 16 eme siècle sont oeuvre princiale étant les Essais, il y abordes différens sujets sous un angle philosophique, politique et social, il livre sa réflexions sur sa propre vie et sur la condition de l’homme.

Dans le chap 31 "Des Cannibales" publié en 1595, M évoque la découverte des "sauvages" du Nouveau Monde et l’étonnement des Européens face à des coutumes différentes des leurs.

En parlant d’eux il parle aussi de l’homme europpéens soit disant civilisé, et détourne les idées reçues sur ces cannibales et propose sa vision de la "barbarie" : Comment Montaigne montre-t-il que la notion de "sauvage" est toute relative ? I (l.122 à l.129) : argumement de l’auteur : l’ethnocentrisme pousse à nommer barbare ce qui est différent - pèriode binaire à valeur définitoire : sauvage / barbare (différent) vs vérité (ce q ns conaissons) -ton personnel // caractéristique essais (partage son opinion prépare son raisonnement + objectif, convaiquant "il n’y a rien de barbare et de sauvage") : présentatif ac à 2 noms -"pour en revenir à mon sujet": fin disgression, début arg, "d’après ce qu’on m’en a dit": arg d’expérience, "chacun appelle barbabre ce qui n’est pas dans ses coutumes" : chacun (pronom indefini), appelle (S), barbare (COD), ce qui ...

( prop sub périphrastique "ce qui ce que" ) : une généralité =>1 def par la négative de la barbarie, 1er tentative de relativisation - "de même que" : pivot ph binaire, connecteur logique, 2eme dvp amorcé: 1 précision -"en vérité" : apposition insiste sur véracité de ses propos et aspect narativisé , "l’exemple ...

" : 1 def provicatrice de notions clès en philosophie: l a renaissance invite à relativiser la barbarie et la vérité.

127 à 129 : 1 dvp ironique de son propos, "là" : avd de lieu + verbe être + attribut du S, rhythme ternaire basée sur anaphore de l’adj "parfait" = insistance + multiplication des adj + CDN antiphrastique ironique "de toutes choses" => généalisation à l’extrême , là où Montaigne invité à un peu de finesse et relativité, il montre que les mots ont le sens que nous leur donnont en fonction de nos valeurs, ici occidentales. II (l.129 à l.150) : developpement de l’auteur : oppposition sauvage VS civilisé -Comparaison av fruits → comprendre que l’homme altère la nature -joue sur polysémie du mot sauvage. »