MONTAIGNE: «JE SUIS MOI-MÊME LA MATIÈRE DE MON LIVRE»
Publié le 09/12/2021
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. «qui craint de souffrir, souffre déjà de ce qu'il craint ». Transition : Mais l'intérêt des Essais dépasse de beaucoup celui d'un simple « journal intime ». Montaigne, premier en date des grands essayistes modernes, rend compte de ses idées philosophiques et son art de vivre se double d'un art de penser. II- Un art de penser. La vie privée et publique de Montaigne le conduit à réfléchir sur la vanité des connaissances humaines. De là une lucidité sans cesse accrue qui s'appuie sur les leçons de l'expérience. 1· Le scepticisme. Sur les idées de Montaigne, Les Essais nous apprennent qu'à ses yeux : les hommes, tels qu'il les a connus par les livres, la conversation et les voyages, sont comme lui-même un sujet merveilleusement « ondoyant et divers » et que, sur les questions de tout ordre (politiques, philosophiques, morales, etc.), il leur est impossible de se mettre d'accord, non seulement entre eux, mais avec eux-mêmes. Cette amère constatation conduit Montaigne au « Que sais-je ?
. «qui craint de souffrir, souffre déjà de ce qu'il craint ». Transition : Mais l'intérêt des Essais dépasse de beaucoup celui d'un simple « journal intime ». Montaigne, premier en date des grands essayistes modernes, rend compte de ses idées philosophiques et son art de vivre se double d'un art de penser. II- Un art de penser. La vie privée et publique de Montaigne le conduit à réfléchir sur la vanité des connaissances humaines. De là une lucidité sans cesse accrue qui s'appuie sur les leçons de l'expérience. 1· Le scepticisme. Sur les idées de Montaigne, Les Essais nous apprennent qu'à ses yeux : les hommes, tels qu'il les a connus par les livres, la conversation et les voyages, sont comme lui-même un sujet merveilleusement « ondoyant et divers » et que, sur les questions de tout ordre (politiques, philosophiques, morales, etc.), il leur est impossible de se mettre d'accord, non seulement entre eux, mais avec eux-mêmes. Cette amère constatation conduit Montaigne au « Que sais-je ?
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