Commentaire composé - (Les contemplations) – jeune fille, la grâce... de Victor Hugo
Publié le 23/05/2020
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«
Commentaire composé Moïra Parred
(Les contemplations) – jeune fille, la grâce …
L’auteur le plu prometteur de son époque et le défenseur de la France, Victor Hugo
est né le 26 février 1802 à Besançon.
Il est le dernier enfant d’une famille de trois garçons.
Son père Léopold est un général de l’Empire napoléonien.
C’est surtout sa mère, Sophie
Trébuchet, qui l’élève après sa séparation de son mari.
Victor Hugo a eu une enfance nomade
et anxieuse.
Ce poème a été réalisé en février 1984, mais étend antidater nous ne pouvons
connaitre sa réelle date de création.
Il perdit sa fille Léopoldine le 4 septembre 1843 a l’âge
de 19 ans.
Ce texte appartient au mouvement romantique, dont Victor Hugo est le chef de
file en France.
C’est pourquoi on peut se demander si ce poème ne représente qu’une
description d’une jeune fille de 17 ans ou cible-t-il une personne précise.
Pour cela nous
allons voir dans un première temps ‘’l’éloge de la jeune fille’’ et par la suite ‘ ’ l’hommage à sa
fille’’.
Dans ce texte nous découvrons la description d’une jeune fille.
Celle-ci est particulière
car elle semble unique et précieuse aux yeux de l’auteur.
Victor Hugo veut qu’ont l’admire.
Dès le début du texte il fait déjà son éloge (« la grâce »).
Les poètes sont représentés comme
des amoureux de la nature et des rêveurs.
Ici on trouve le champ lexical utilisé de la nature
(la nature, printemps, fleur, azur) montre quel est elle aussi poète et partage un point
commun avec lui.
Cela montre directement aux lecteurs que le poème est l’éloge de
quelqu’un et qu’il est d’une certaine manière proche de l’auteur.
La jeune fille possède dans ce texte plusieurs superlatifs qui nous montre qu’elle est un être
supérieur aux autres filles de son âge.
On peut même se demander si la jeune fille n’est pas
une divinité avec les références faite à la mythologie utilisé (Lesbos) ou encore l’utilisation de
mots religieux qui nous témoigne d'un "être précieux", "sois bénie", "ton souffle est un
encens").
Le lecteur peut se demander si ce n’ait pas la réincarnation d’une déesse ou encore
d’un ange
Il nous fait comprendre que la jeune fille est de toute beauté, elle est mise en avant par son
physique et sa jeunesse.
Elle n’est qu’au début de sa vie.
Cela est prouvé par les mots
(‘’printemps’ ’et ‘’matin’’).
Qui sont eux aussi les commencements de quelque chose.
L'admiration pour elle est accentuée par l'opposition à l'homme qui lui est "un spectre
obscur du mal et de l'exil.
La jeune fille est aussi la pureté qui lutte contre les avances de
l’homme.
Elle se transforme en richesse et en lumière que tous hommes convoitent.
On
remarque qu’Hugo s’inclue auprès des lecteurs, il la convoite et l’admire autant que nous.
Nous avons compris qu’elle représente surtout un exemple de perfection pour Hugo et
pour nous.
L’auteur utilise un vocabulaire et un rythme qui fait naître l'admiration du lecteur.
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