Migraine

« 1 / 2 Migraine 1 Nul sympt6me n'est plus banal que le mal de tete, qui est aussi Ia meilleure definition des cephalees.

Variete particuliere de cephalee, la migraine occupe une place importante dans ce domaine en raison de sa frequence et des therapeutiques specifiques qu'elle necessite. 2 Toutes lesaffections Mitesgenerales (grippe, typhoide, oreillons, etc.) sont generatrices de cephalees, de memo que les meningites.

II s'agit alors de cephalees avec syndromes (association de plusieurs symptoms) infectious.

Les maux de tete peuvent etre declenches aussi par un traumatisme.

En dehors des diverses varietes de meningites, les cephalees peuvent resulter de n'im- porte quel type de lesions intracerebrales (tumour, abces, hematome, etc.). 3 Toute neo-formation, suivant la zone ou elle se deve- loppe, peut s'accompagner d'un mal de tete localise ou diffus.

La douleur cephalique localisee represente alors un signe d'alarme neurologique important.

L'hypertension arterfelle s'accompagne souvent de cephalees a predo- minance occipitale.

L'alcool, le tabac, l'oxyde de carbone peuvent egalement etre invoques comme causes de cepha- lees. 4 La migraine parait toucher pros de 10% de Ia popu- lation, avec une predominance feminine nette (70 Vo). L'acces migraineux debute le plus souvent par une modifi- cation de l'humeur et par des troubles du sommell.

Les maux de tete apparaissent ensuite, avec une topologie caracteristique :la douleur est hemicranienne (d'ou le nom de migraine).

Ses acces sont cycliques et souvent entoures d'autres signes :troubles generaux (paleur, hypersudation) ou digestifs (anorexie, vomissements). 5 Les crises commencent generalement dans l'enfance ou l'adolescence.

Ce declenchement prOcoce manifesto Migraine 1 Nul symptôme n'est plus banal que le mal de tête, qui est aussi la meilleure définition des céphalées.

Variété particulière de céphalée, la migraine occupe une place importante dans ce domaine en raison de sa fréquence et des thérapeutiques spécifiques qu'elle nécessite.

2 Toutes les affections fébriles générales (grippe, typhoïde, oreillons, etc.) sont génératrices de céphalées, de même que les méningites.

Il s'agit alors de céphalées avec syndromes (association de plusieurs symptômes) infectieux. Les maux de tête peuvent être déclenchés aussi par un traumatisme. En dehors des diverses variétés de méningites, les céphalées peuvent résulter de n'im­ porte quel type de lésions intracérébrales (tumeur, abcès, hématome, etc.).

3 Toute néo-formation, suivant la zone où elle se déve­ loppe, peut s'accompagner d'un mal de tête localisé ou diffus. La douleur céphalique localisée représente alors un signe d'alarme neurologique important. L'hypertension artérielle s'accompagne souvent de céphalées à prédo­ minance occipitale.

L'alcool, le tabac, l'oxyde de carbone peuvent également être invoqués comme causes de cépha­ lées.

4 La migraine paraît toucher près de 10% de la popu­ lation, avec une prédominance féminine nette (70%).

L'accès migraineux débute le plus souvent par une modifi­ cation de l'humeur et par des troubles du sommeil.

Les maux de tête apparaissent ensuite, avec une topologie caractéristique : la douleur est hémicrânienne (d'où le nom de migraine).

Ses accès sont cycliques et souvent entourés d'autres signes : troubles généraux (pâleur, hypersudation) ou digestifs (anorexie, vomissements).

5 Les crises commencent généralement dans l'enfance ou l'adolescence. Ce déclenchement précoce manifeste 2 / 2. »