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Maurice (2003-2004) Reconversion en «cyber-île»

Publié le 20/09/2020

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« Maurice (2003-2004) Reconversion en «cyber-île» La coalition gouvernementale a organisé en septembre 2003, comme prévu, le remplacement du Premier ministre Anerood Jugnauth (devenu président de la République) par son vice-premier ministre, le leader du Mouvement militant mauricien (MMM), Paul Bérenger.

Celui-ci a effectué en Inde sa première visite officielle à l’étranger avant de se rendre à Paris, en février 2004, puis à Madagascar, début avril, et au Mozambique, en juin, fixant ainsi les priorités diplomatiques de son gouvernement.

Si le transfert de pouvoir entre A.

Jugnauth et P.

Bérenger s’est bien passé, il en fut autrement de l’élection législative partielle destinée à combler le siège laissé vacant au Parlement par le nouveau président de la République.

Son fils, Pravind Jugnauth, vice-premier ministre en charge des Finances, avait activement soutenu la campagne du candidat gouvernemental, testant indirectement sa popularité dans une circonscription composée majoritairement d'Hindous, sa communauté d'origine.

La victoire de l’opposition en a été d’autant plus cuisante pour lui, même si elle n’a pas modifié le rapport de forces à l’Assemblée nationale. L’année 2004 devait constituer un temps fort du programme visant à faire de Maurice une «cyber-île» en y attirant des sociétés désireuses de délocaliser certaines de leurs opérations informatiques ou de communications (centre d’appels, back office...).

La «cybercité d’Ébène», installée dans un bâtiment ultramoderne équipé de moyens de communication sophistiqués, a commencé d'entrer en fonction en avril 2004 et d'accueillir plusieurs firmes internationales.

Le choix gouvernemental de développer les TIC (technologies de l’information et de la communication) vise à pallier les difficultés que rencontrent les secteurs traditionnels de l’économie (textile, canne à sucre), mais nécessitera de gros efforts en termes de formation professionnelle.. »

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