Marie Curie et le polonium

« Marie Curie : Elle s’intéresse aux travaux du français Henri Becquerel, qui à découvert en 1896 que le pechblende (minerai qui contient de l’uranium) émet un rayonnement invisible qu’ils ne sont pas produit par facteur extérieur mais par la nature des atomes. Après avoir constaté que le minerai était plus radioactif que prévu pour sa teneur, Marie l'a traité chimiquement pour isoler les éléments inconnus. Grâce à un électroscope à feuille d’or elle a remarqué qu'une partie de la radioactivité était concentrée dans les sulfures (Composé du soufre avec un élément (métal, etc.), constituant de nombreux minerais) précipités en milieu acide, et a pu identifier la présence d'un nouvel élément homologue au tellure, qu'elle a nommé polonium.

Ce métal est le premier élément découvert par des méthodes radiochimiques. Le principe d’un électroscope à feuille d'or est qu’il est chargé donc la feuille d’or est repoussée, quand il y a présence de radioactivité la charge fuit et la feuille d’or retombe. Le polonium émet une particule alpha particument pur, il fait donc partie de la radioactivité alpha.

Il a un excès de protons et de neutrons c’est pourquoi il émet un hélium 4,2 et se situe au bout de la vallée de la stabilité. Le polonium a de nombreuses applications.

Il a été utilisé comme source de rayonnement α par Irène et Frédéric Joliot-Curie dans les expériences qui ont conduit à la découverte de la radioactivité artificielle en 1934. Associé au béryllium, il constitue la source des particules alpha pour les réactions nucléaires : Enfin, la chaleur dégagée par sa désintégration peut être convertie en électricité à basse tension.. »