Databac

MALEBRANCHE - LEIBNIZ -MONTESQUIEU - HUME - ROUSSEAU - KANT (fiche bac)

Publié le 23/06/2021

Extrait du document

Ci-dessous un extrait traitant le sujet : MALEBRANCHE - LEIBNIZ -MONTESQUIEU - HUME - ROUSSEAU - KANT (fiche bac). Ce document contient 954 mots soit 2 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format PDF sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en: Philosophie.


« 1 / 2 MALEBRANCHE -LEIBNIZ - MONTESQUIEU -HUME -ROUSSEAU -KANT MALEBRANCHE (1638-1715) Philosophe et théologien, mystique préoccupé de convertir, Malebranche tente de bien séparer la raison et la foi, il affirme : « il y a des vérités qui peuvent §tre prouvées par la raison a�U' bien que par la tradition, comme l'immortalité de /'lime, le péché originel la nécessité de la grâce».

Donc, la foi nous conduit à l'intelligence, et la vérité révélée s'appelle la Raison.

Pour atteindre cet idéal, l'homme se sert de l'entendement et de la volonté.

Le mal ou le péché �K so�n que la ra�{^ de la liberté.

LEIBNIZ (1646-1716) Autodidacte, encyclopédiste passionné, d'une activité multiple, cherchant un alphabet des pensées pour établir une sorte d'écriture universelle, découvrant le calcul infinitésimal et inventeur de la monade.

Leibniz organise l'univers physique selon les degrés de perception et d'appétition.

L'être humain apprend à raisonner selon deux principes : celui de contradiction et celui de raison suffisante.

Ceci permet d'établir deux types de vérité: les logiques (comme les mathématiques) et les contingentes (dont le contraire est possible).

Dieu, créateur du monde, continue de le créer le meilleur possible et dans cet univers où tout est réglé, la liberté existe, puisque le mal révèle ce qui manque à l'homme pour être parfait.

Leibniz pense que : « Dieu incline notre âme sans la nécessiter».

MONTESQUIEU (1689-1755) Magistrat, écrivain, consacre ses analyses à l'histoire politique.

Après une longue réflexion sur les causes de la grandeur et de la décadence de Rome, il tente une synthèse dans un livre lentement mûri : /'Esprit des lois.

Ce texte, par des définitions (« les lois sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses») et par des distinctions (les trois formes de gouvernement : le républicain-vertu, le monarchique-honneur, le despotisme-crainte) autorise une pe�kK politique originale.

Car, elle établit des règles pour la vie sociale, propose des comparaisons, surtout avec la Grande-Bretagne dont la Constitution est le modèle de tout le XVlll 8 siècle.

Elle fonde le jeu politique et elle explique la philosophie de l'homme par une séparation des pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire).

La liberté se définit : « pouvoir de faire tout ce que les lois permettent». 2 / 2. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles