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LOMENIE DE BRIENNE, Etienne-Charles (1727-1794)Homme d'Eglise et philosophe surnommé " l'Antimoine ", il prend, grâce à l'appui de Choiseul, une part active à la révision des constitutions et des observances religieuses.

Publié le 17/05/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : LOMENIE DE BRIENNE, Etienne-Charles (1727-1794)Homme d'Eglise et philosophe surnommé " l'Antimoine ", il prend, grâce à l'appui de Choiseul, une part active à la révision des constitutions et des observances religieuses. Ce document contient 152 mots soit 0 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.
Prélat et homme politique français. Évêque de Condom (1760), puis archevêque de Toulouse (1763), il fut président de l'Assemblée des notables de 1787 et contrôleur général des Finances (mars 1787/août 1788). Il voulut rétablir la subvention territoriale, impôt foncier frappant les privilégiés, pour sortir le royaume de la grave crise financière, mais se heurta vivement au parlement. Il n'obtint rien des états généraux d'août 1788 et dut suspendre les paiements de l'État le 16 août. Pour apaiser l'opinion, Louis XVI le renvoya et rappela Necker. Nommé archevêque de Sens et cardinal, Loménie prêta serment à la Constitution civile du clergé en 1791, fut déchu du cardinalat par le pape et devint évêque constitutionnel de l'Yonne. Il fut cependant arrêté en 1793 et mourut en prison.

« LOMENIE DE BRIENNE, Etienne-Charles (1727-1794) Homme d’Eglise et philosophe surnommé “ l’Antimoine ”, il prend, grâce à l’appui de Choiseul, une part active à la révision des constitutions et des observances religieuses.

Il attaque violemment Calonne à l’assemblée des Notables et lui succède, en qualité que chef du Conseil des finances, en 1787.

Il fait enregistrer par le Parlement les édits sur le commerce des grains, sur les assemblées provinciales et sur la corvée, mais il se heurte à l’opposition des magistrats pour les édits sur le papier timbré.

Le Parlement réclame la convocation des Etats généraux, et les émeutes commencent à se multiplier, tandis que Brienne est transféré à l’archevêché de Sens (1788).

Il se retire du ministère et devient cardinal.

Il voyage en Italie, revient en France en 1790 et prête serment à la constitution civile du clergé.

Il est néanmoins arrêté à Sens en 1793 et meurt peu après.. »

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