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L'inconscience, l'inconscient (résumé de cours)

Publié le 06/10/2021

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« L(QJ conscience, l'inconscient L'essentiel du cours Être conscient, c'est s'apercevoir qu'on sent, agit et pense, et pouvoir réfléchir sur chacun de ces actes.

Dès lors, l'homme n'est pas seulement dans le monde, comme une chose, mais devant lui, dans une distance qui rend possible le questionnement.

Conscience et connaissance • Selon Pascal, la conscience fait la grandeur et la misère de l'homme : elle le rend responsable de ses actes et fait ainsi sa dignité, mais l'arrache aussi à son innocence naturelle.

Parce qu'il a une conscience, l'homme n'ignore rien de sa misère et sait qu'il aura à mourir. • Avoir conscience d'existe� c'est ne pas connaître qui je suis.

Au contraire, c'est parce que je suis un être conscient que je peux me tromper sur moi-même -un animal ne saurait se mentir à soi-même. • Si la connaissance de ma propre identité est douteuse, ma pure conscience d'exister est indubitable : grâce au doute_ méthodique, Descartes découvre le caractère absolument certain de l'existence du sujet pensant : « je pense, donc je suis ».

Même si toutes mes pensées étaient illusoires, il demeure indubitable que j'existe en tant que chose pensante.

Descartes fait de cette certitude le fon­ dement inébranlable de la connaissance. La conscience n'est pas une chose mais un acte • Selon Descartes, je suis une « substance pensante ».

C'est ce que critique Husserl : loin d'être une substance, la conscience est une activité de profecifon vers les choses.

Toujours au-delà d'elle-même, elle se projette vers le monde dans une visée « intentionnelle » qui lui donne sens. • Sartre, reprenant cette perspective, en souligne la dimension plus proprement morale et existentielle : parce qu'elle est mouvement d'extériorisation, « éclate­ ment vers autre chose que soi », la conscience suscite l'angoisse.

Elle introduit dans l'individu une distance irréductible qui l'empêche à jamais de coïncider avec lui-même : l'identité n'est en ce sens jamais réalisée mais toujours à construire (elle est« projet»). La conscience en question • La conscience n'est pas pure transparence à soi : pour Freud, l'lfl_c_�(!Scient me détermine à mon insu.

La conscience n'est qu'une surface agitée par des forces psychiques pulsionnelles (désirs et interdits) qui s'affrontent en profondeur et font l'objet d'un refoulement.

!!inconscient ne peut s'exprimer qu'indirectement (rêves, lapsus, symptômes névrotiques).

Seule l'intervention du psychanalyste peut me délivrer du conflit entre moi et moi-même.. »

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