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L'incapacité des sociétés humaines à changer face à la pollution

Publié le 16/03/2021

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« Intro: A partir de la fin du XVIIIe siècle, une nouvelle forme d’économie se fonde avec la révolution industrielle.

Celle-ci mènera à une dégradation environnementale du monde actuel.

Face à un changement climatique en constante évolution et une mondialisation qui en est la cause, l’humanité se trouve dans une position complexe entre une évolution polluante pour la planète et la transition écologique.

La réponse évidente à ce problème est bien évidemment de préférer la conservation du globe, mais la décision à prendre n’est pas des plus simple.

En effet, cette transition à un coût et demande du temps mais la principale barrière à tout cela est l’Homme lui-même, qui doit tout d’abord faire évoluer sa pensée avant de révolutionner le monde d’aujourd’hui.

Nous sommes pourtant conscient du désastre créer depuis plusieurs années mais aucun acte n’a été entreprit.

Comment pouvons nous alors expliquer l’incapacité des sociétés humaines à changer ? Nous nous concentrerons premièrement sur une éventuelle défaillance biologique de notre cerveau, puis nous analyserons ensuite la complexité du changement d’un système déjà mis en place. ------- H abitué à une vie confortable mêlant internet, les nouveaux modes de transports et la facilité d’accès à de nombreux services, l’Homme prend aujourd’hui du plaisir en profitant des nouvelles technologies.

Malgré sa conscience de l’impact environnementale que provoque cette zone de confort, il ne s’intéresse pas à résoudre ce problème et cela aurait une cause biologique.

Selon Sébastien Bohler, docteur en neuroscience, le problème de cette surconsommation proviendrait de notre cerveau, plus précisément de l’association de notre striatum qui provoque la sensation de désir ET de notre cortex cérébral qui forme notre intelligence.

Le cortex, s’étant récemment fortement développé, nous a conduit à inventer de plus en plus de technologies permettant de minimiser nos efforts, ce qui va satisfaire notre désir d’en faire le moins possible et sécréter de la dopamine, hormone du plaisir, à partir du striatum.

Nous inventons chaque jour de nouvelle solutions, permettant de renforcer notre côté apathique, comme la livraison alimentaire à domicile avec Uber Eats ou bien la domotique avec l’assistant vocal de Google permettant par exemple de commander des pizzas, avec le service précité tout en étant vautré sur son fauteuil. -------. »

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