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l'homme qui rit Victor Hugo - chapitre 2

Publié le 23/05/2020

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« L’homme qui rit , Hugo Introduction - Hugo : Présentation de l’auteur, du mouvement littéraire - Le roman : L’homme qui rit est un roman publié en avril 1869 dont l’action se déroule dans l’ Angleterre de la fin du XVII° siècle et du début du XVIII °siècle.

Il est notamment célèbre pour la figure mutilée dans un rire permanent de son héros éponyme - Contexte dans l’œuvre : Cet extrait se situe au début du roman (chapitre 2) : G.

est un enfant de 10 ans, qui vient d’être abandonné par un groupe d’hommes pressés de fuir l’Angleterre.

Ce sont des « Comprachicos », spécialisés dans le commerce d’enfants, qu’ils achètent ou volent après les avoir mutilés.

- Annonce de la problématique : Nous montrerons en quoi ce portrait antithétique de G. interroge le lecteur sur l’homme - Annonce des axes d’étude I.

Un portrait antithétique – Entre Grotesque et Sublime 1.

Un portrait placé sous le signe de l’étrangeté C’est avant tout la complexité de G qui frappe le lecteur.

La dualité, l’étrangeté du personnage sont soulignées dès le début de l’extrait Adv « pourtant » ligne 1 + Antithèses : « en riant » et « ne riait pas » et « Sa face riait, sa pensée non » = comment un être qui qui fascine la foule par son rire peut-il ne pas rire lui-même ? + Champ lexical de l’étrangeté lignes 2 « inouï ; bizarrement ; spéciale » 2.

La laideur du visage 13 occurrences du mot « rire » ou d’un mot de la même famille dans ce passage.

Lignes 1 à 5 : 8 occurrences déjà Puis ce rire se précise ligne 5 « rire automatique » ; « pétrifié » « convulsions » : gradation dans la caractérisation de ce rire « rictus »lignes 5 et 7 = on devine peu à peu que ce personnage a un rictus grotesque = bizarre, caricatural.

Il n’est que rire + Ce rire s’étend à tout son visage : énumération lignes 3,4 « sur son front, sur ses joues, sur ses sourcils, sur sa bouche » + répétition du « toute » lignes 7,8 « toutes les parties de son visage » ; « toute sa physionomie » ; « toutes ses émotions » Son visage est indéfinissable : présence de déterminants indéfinis ligne 2 « une industrie », ligne 9 « Un étonnement , une souffrance , une colère » ligne 10 : « une pitié » ligne 16 « une indication » + des figures antithétiques : l’antithèse lignes 8, 9 « Cette étrange figure de joie » + l’oxymore « une tête de Méduse gaie » : impossibilité à concevoir, à imaginer ce visage Réactions de la foule : elle rit, elle aussi : lignes 15 « on riait » 3.

Une beauté corporelle et morale indéniables Adjectifs mélioratifs ligne 16 « Il était du reste grand, bien fait, agile» + « Nullement difforme si ce n’est le visage » : double négation qui met en lumière l’absence de monstruosité corporelle ligne 18 « Beau de corps ». »

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