L’Homme-a-t-il une identité stable et continue ?
Publié le 05/02/2022
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L’Homme -a-t-il une identité stable et continue ?
Hume explique selon lui que le moi n’existe pas et que le sujet n’a pas une identité réelle.
Le
moi est un sujet beaucoup étudié en philo par exemple pour Freud le Moi ne dépend que de
l’interaction ave c les différentes instances donc que le moi fait partie d’un ensemble et n’es
pas la personnalité.
Le moi est aussi ce que nous sommes réellement ce qui est au plus
profond de nous c’est notre personnalité qui cherche à s’exprimé.
A travers la deuxième nous
comprenons mieux la phrase « je ne veux plus faire semblant d’être moi.
Le moi est donc
définir à comprendre et à savoir.
Mais alors le moi chez Hume est l’identité et donc la
question est plutôt : L’Homme a -t-il une identité stable.
L’enjeux de Hume est donc de casser
la représentation classique de son époque avec Descartes qui affirme l’identité du moi et sa
stabilité.
Alors nous pouvons donc voir que Hume va démontrer le contraire.
La première
partie serra la conception du moi qui dominait la philosophie du sujet mas il va la mettre à ses
idées et dans la deuxième partie nous verrons que le moi est une somme de perceptions qui le
conditionne.
Hume n ous parle que le moi est une identité mais vous allez voir que celle si n’est pas stable.
Hume nous fait comprendre directement sont point de vue avec le « pour ma part », c’est
alors sa vision du moi qu’il va définir.
« J’appelle le moi » qu’il définit pa r des perceptions, il
donne des exemples : nous comprenons qu’il parle de perception reliée au sens avec « chaud
ou froid » donc des perceptions sensibles.
Il ne faut pas oublier les perceptions émotionnelles
avec « d’amour ou de haine », il existe de type s de perceptions mais ce n’est pas de ça qu’il
veut nous faire part.
dans sa deuxième phrase il nous expose au fait qu’il est obligé d’avoir
des perceptions pour être lui sinon il ne sent pas moi.
Comment une perception peu être alors
stable si elles sont successives et que nous en avons donc tout le temps ? Seule la perception
compte « je ne peux rien observer que la perception ».
Mais Hume ne va pas assez loin dans
ses propos car que fait -il de la mémoire ? Ou encore du corps ? Des relations sociales ? La
perception n’est que ressenti qui s’enchaine, elle est donc instable même lui il le dit à la
première phrase « douleur ou plaisir, lumière ou ombres » elle sont sois l’une sois l’autre
donc elles ne sont jamais tout le temps présente.
Pourtant quand Hu me dort, il n’est plus lui car plu de perception.
Il XQH
interruption du moi.
Mais alors il n’a plu de perceptions quand il dort le moi n’est donc pas
continue.
Ceci pe ut être contré par le fait que quand nous dormons notre cerveau marche la
mémoire, les rêves qui sont fournis par des perceptions imagées .
Bien sur Hume nous parles
de perception sensorielle et émotives mais il y a aussi les perceptions imagées.
Pour aller plus
loin encore nous avons des perceptions sensorielles quand nous dormons sinon nou s ne nous
réveillerons pas, par exemple lorsque nous avons froid nous nous réveillons pour nous
rhabiller ou pour remettre la couette.
Un bruit peu nous réveiller mais nous avons donc
commencé à l’entendre quand nous dormions.
Mais Hume ne le mentionne pas .
Pour lui
quand il dort il a une absence de lui donc une absence d’âme si nous comprenons bien.
Pour
Hume les perceptions s’arrêtent lorsqu’on dors mais ce n’est pas tout, quand nous sommes
mort c’est pareil.
Le moi est donc détaché du corps car la fin d e vie marque alors la fin du
corps mais aussi du moi c’est ce qu’il écrit dans la phrase « si toutes mes perceptions étaient
supprimé par la mort ».
Il commence par dire que s’il est mort il ne peut pas penser, il fait
alors appelle à la conscience, ensuit e « ni sentir, ni voir » il fait appelle au sens et en dernier
au cœur et à l’émotion « ni aimer, ni haïr ».
Ses mots sont alors bien choisis car s’il n’a plus
de perceptions, supprimées par la mort il ne possède donc plu de conscience ni de cœur ni de
cor ps, car les différentes perceptions font appel à la conscience au cœur et au corps.
« La
dissolution de mon corps » qui est donc la mort, il a une absence de perception car il a une.
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