L'Europe de Versailles et de Genève par Ladislas MysyrowiczProfesseur à la Faculté des Lettres de Genève L'Europe de Versailles et de Genève n'est pas sans rappeler ces effets defondu enchaîné où une image nouvelle se substitue progressivement à uneautre qui s'efface.
Publié le 23/05/2020
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : L'Europe de Versailles et de Genève par Ladislas MysyrowiczProfesseur à la Faculté des Lettres de Genève L'Europe de Versailles et de Genève n'est pas sans rappeler ces effets defondu enchaîné où une image nouvelle se substitue progressivement à uneautre qui s'efface. Ce document contient 2235 mots soit 5 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Culture générale.
« L'Europe de Versailles et de Genève. »
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Louise Weiss1893-1983Agrégée de lettres, fondatrice de l'Europe nouvelle (1918), de
- Étudiez cette définition du romantisme que Musset met ironiquement dans la bouche d'un clerc d'avoué : « Le romantisme, mon cher monsieur, mais à coup sûr, ce n'est ni le mépris des unités, ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. Vous saisiriez vainement l'aile du papillon, la poussière qui le colore vous resterait dans les doigts. Le romantisme, c'est l'étoile qui pleure, c'est le vent qui vagit, c'est la nuit qui frissonne, la fleur qui vole
- Dans quelle mesure l'art épistolaire, qu'il s'agisse de lettres authentiques ou fictives, permet-il une construction de l'image de soi, à la fois adaptée au destinataire et choisie par l'épistolier ?
- Peut-on dire que le mouvement humaniste, tel qu'il s'est manifesté du XIVe au XVIe siècle en Europe, fait état une foi inébranlable en l'homme et ses progrès et témoigne d'effets bénéfiques pour l'avenir de l'humanité ?
- CHAMFORT conclut ainsi son Éloge de Molière (1766) : N'existerait-il pas un point de vue d'où Molière découvrirait une nouvelle carrière dramatique ? Répandre l'esprit de société fut le but qu'il se proposa. Arrêter ses funestes effets serait-il un dessein moins digne d'un sage ? Verrait-il sans porter la main sur ses crayons l'abus que nous avons fait de la société et de la philosophie, le mélange ridicule des conditions, cette jeunesse qui a perdu toute morale à quinze ans, toute se