«Les trains en été – Anna de Noailles» - Commentaire littéraire
Publié le 25/09/2021
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«
« Les trains en été – Anna de Noailles »
Commentaire littéraires
introduction : Anna de Noailles est née en 1876 et morte en 1933 elle est
d’origine greco romaine.
Dans ces poésies on retrouve beaucoup le goût pour
la nature & les sentiments fort comme ce poème, on oscille entre surréalité et le
tragique.
Nous avons ici un registre élégiaques et en rimes suivies.
Problématique : Pourquoi les tains provoquent cette émotion ?
Annonce du plan : D’abord nous allons parlé du décors décrit dans ce poème (I)
et ensuite nous verrons les sensations qu’éprouve l’auteur (II)
I / Les espaces, les indications :
a) Le passage de la ville & de la campagne
Dans le poème nous remarquons deux parties distinctes, en premier nous avons
« imaginations de la campagne » v .1 à v.12 et en deuxième parties l’auteur
« s’adresse directement » à eux.
Les deux premiers vers de ce poème parle de la ville
qui est décrite comme douce v.2 « inerte,volupté » ; ensuite nous avons un passage à
la campagne qui est décris avec des adjectifs brutal « crie, dur » qui s’adoucit par la
suite « bois dormant rose trémière »v.7 à 8 et nous revenons à la brutalité avec le
champs lexical de la chaleur qui réveille le lecteur du rêve « soleil crève , juillet ,
chaleur ».
Ici nous retrouvons vraiment les sensations forte en passant par la brutalité
l’ adoucissement puis encore la brutalité, cela permet au lecteur de mieux se plonger
dans le rêve imaginé.
Pour mieux idéalisé ce rêve nous avons un champs lexical des
couleurs qui permet d’illustrer ses pensés comme une sorte de tableaux « roses , prés ,
blanche, noirs »
II/ Sensations provoqués :
a) Les émotions transmise
Pour retrouvés toutes les sensations dans ce poèmes nous avons beaucoup
d’indicateurs comme l’hyperbole qui ici insistent sur les sentiments « cris
désespérés, effroyable amour, l’émouvant bonheur, bienfaisant extase ».
Nous
retrouvons aussi des sens comme la vue « ébloui comme un regard, voyez »
l’ouïe « j’entends » et le toucher « brûlure ».
Ces sens permettent de dire que
l’émotion se ressens, se voie et s’entend , nous dire que c’est profond.
Au file
du texte nous voyons que de la ligne 5 à 12 l’auteur est interrogative et à la
ligne 20 l’auteur est interrogative, les points d’interrogations et de suspensions.
»
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