Les serment des Horaces de Jacques Louis David Analyse

« Poirier Lucie 22000955 UE HA00107V Devoir noté à rendre pour la séance 5 L'œuvre présentée est une huile sur toile intitulée Le serment des Horaces .

Réalisée entre 1784 et 1785 par le peintre français Jacques -Louis David, elle mesure 4,24 mètres de hauteur sur 2,76 mètres de largeur.

Elle est actuellement conservée au musée du Louvre à Paris.

Ce tableau est une grande peinture d’histoire, plus part iculièrement d’histoire romaine.

On observe trois hommes debout, vraisemblablement les frères Horaces, prêtant serment bras tendus vers un autre homme, leur père.

Ils prêtent serment de vaincre leurs opposants, les Curiaces, ou de mourir pour Rome.

Derr ière eux, trois femmes le regard vers le sol, et deux enfants, semblant désespérément se lamenter de la scène.

Au premier plan, on distingue les trois frères à gauche et leur père face à eux, au centre du tableau.

Les frères, vêtus d’uniforme de soldats r omains, portent tous les trois un casque et une tunique.

Le premier frère tient une lance dans sa main.

La fratrie tend ses mains en direction de leur père, faisant serment de combattre avec honneur pour leur patrie.

Le père, quant à lui, tient trois epees dans ses mains qu’il semble lever vers le ciel en signe de bénédiction sur ces fils ou d’imploration envers une divinité, ou du moins de quelque chose supérieur à lui.

Dans ces deux cas, il porte ses mains au -dessus des autres personnages, montrant son au torité.

Lui, regarde vers le ciel.

Ces fils, pour leur part, le regarde, en attente d’un acquiescement de sa part. Au second plan, et sur la droite du tableau, on remarque deux femmes.

Ce sont les sœurs des combattants.

Elles semblent fatiguées et attristé es.

Elles ont une posture souple, presque lâche, et regardent vers le sol comme pour éviter d’avoir un regard sur cette scène aDQWXQDYHQLUWUDJLTXH. Au troisième plan se trouve une autre femme, la mère des frères Horaces, ainsi que deux enfants.

L’un de s enfants, a contrario des femmes, regarde la scène d’un air innocent.

Il ne semble pas comprendre la gravité du moment.

Les enfants sont tenus entre les bras de leur grand -mère qui parait vouloir les rassurer.

Ces trois personnages sont, à l’inverse des d eux premières femmes, dans l’ombre des personnages du premier plan. A l'arrière -plan, on remarque des arcades.

Cet élément de décor nous montre que la scène se déroule dans la cour intérieure d’une demeure romaine.

Entre ces colonnes, un fond sombre prédom ine ce qui concentre l'attention sur le premier plan.

La composition de cette œuvre est très géométrique.

En effet, les soldats et leur père se retrouvent dans un carré parfait délimité par la pointe de la lance du premier soldat, l’angle de la colonne d e droite et le dos du père.

Les femmes sont, elles, à l’écart de ce carré.

On peut aussi séparer verticalement le tableau en trois parties délimitées par les arcades.

Cette découpe expose la chronologie de la scène.

Premièrement, les fils semblent demander quelque chose à leur père.

Ensuite, le père leur donne les armes.

Pour finir, les femmes pleurent le futur combat.

Dans ce tableau, toutes les lignes présentes dans l’architecture (pierres des murs, dalles au sol, colonnes) ont pour point de. »