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Les princesses de Clèves - le portrait moral et physique

Publié le 19/05/2022

Extrait du document

« Les princesses de Clèves Le XVIIé siècle fait de la littérature l’espace privilégié d’une réflexion sur les valeurs et les comportements.

Les œuvres littéraires se doivent d’édifier leurs lecteurs.

La publication de La princesse de Clèves fait date dans l’histoire littéraire : cette œuvre est considérée comme le premier roman d’analyse psychologique.

Au croisement de l’esthétique classique et du courant de la préciosité, le récit y met scène une jeune femme vertueuse confrontée aux tournement de la passion amoureuse.

À la présentation de la cour d’Henri II qui sert de décor au roman succèdent plusieurs portrais, dont celui de l’héroïne. Lecture Dans l’extrait, le portrait physique et moral de Mademoiselle de Charte est l’occasion pour se demander comment le portrait élogieux de Mlle de Chartes se pose comme une leçon de morale transmise par une éducation singulière.

L’approche de l’extrait révèle d’abord la mise en place du cadre et du personnage exceptionnel qu’est La Princesse, une éducation originale par une pédagogue déterminée et par ailleurs, le retour au portrait d’une future princesse. Mouvement 1 : La mise en place du cadre et du personnage exceptionnel : « Il parut alors » tournure impersonnelle, passé simple à valeurs passé simple a aspect bref et adverbe pour faire ressortir dans un premier lieu le caractère exceptionnel de son personnage et dans un second temps pour marquer une rupture dans le récit et permet de retarder l’identité de cette personne qu’on ne connais toujours pas. « Une beauté » article indéfini et métonymie afin de souligner la perfection physique de l’héroïne ainsi que pour réduire la princesse à une qualité, une représentation. « qui attira les yeux de tout le monde » hyperbole. Mettre en valeur le personnage et ses qualités inattendue mais l’auteure traduit aussi l’importance de l’apparence à la cour par le champ lexical du regard « yeux », « admiration » et « voir ».

en effet, elle devient le centre de toutes les attentions où elle passe sans transition de l’anonymat à la lumière. « l’on doit croire » pronom personnel indéfini.

Met un accent sur le narrateur omniscient ainsi que sur la validation du narrateur des qualités exceptionnelles de La Princesse de Clèves. « une beauté parfaite »Répétition du substantif « beauté » exagération, choc esthétique de sa grande beauté et amplification de l’hyperbole « parfaite » afin d’insister et de mettre en valeur toutes les. »

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