Les Poètes issus du surréalisme
Publié le 09/12/2021
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Les Poètes issus du surréalisme. Ce document contient 0 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Littérature
Les premiers poèmes d'Éluard, recueillis dans Capitale de la douleur (1926), L'Amour, la Poésie (1929), La Vie immédiate (1932), La Rose publique (1934), Les Yeux fertiles (1936), illustrent, par de perpétuels chevauchements entre le monde réel et le monde du rêve, l'attitude surréaliste. Puis Éluard renonce à une inspiration uniquement subjective : ses derniers recueils le montrent profondément engagé dans la résistance nationale ou les batailles politiques. Paul Éluard est un poète-né, au regard limpide et à la voix pure. Sa poésie, proche de la sensation primitive, traduit son intimité avec la nature, avec les objets, avec un être cher. Qu'elle chante l'amour ou la liberté, elle révèle la ferveur d'une âme accueillante et généreuse. Avec des mots très simples, mais harmonieusement associés, elle énonce un message de communion : Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards.
Les premiers poèmes d'Éluard, recueillis dans Capitale de la douleur (1926), L'Amour, la Poésie (1929), La Vie immédiate (1932), La Rose publique (1934), Les Yeux fertiles (1936), illustrent, par de perpétuels chevauchements entre le monde réel et le monde du rêve, l'attitude surréaliste. Puis Éluard renonce à une inspiration uniquement subjective : ses derniers recueils le montrent profondément engagé dans la résistance nationale ou les batailles politiques. Paul Éluard est un poète-né, au regard limpide et à la voix pure. Sa poésie, proche de la sensation primitive, traduit son intimité avec la nature, avec les objets, avec un être cher. Qu'elle chante l'amour ou la liberté, elle révèle la ferveur d'une âme accueillante et généreuse. Avec des mots très simples, mais harmonieusement associés, elle énonce un message de communion : Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards.
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- La poésie a-t-elle seulement pour vocation d’exprimer les sentiments du poètes ?
- corrigé travail de lecture le cercle des poètes disparus
- Montesquieu a écrit le texte proposé issus de « Lettres persanes ». Il a été écrit à la fin du règne de Louis XIV. Dans quelles mesures cette lettre plutôt ironique traduit-elle la monarchie absolue de Louis XIV ?
- Victor Hugo propose de « réveiller le peuple ». Les poètes, les écrivains, les artistes en général, vous paraissent -ils pouvoir, mieux que d’autres, remplir cette mission ?
- Pouvoir de la Parole : exemple du cercle des poètes disparus et de la vague