Les mécanismes cellulaires du développement d'une plante
Publié le 21/02/2021
Extrait du document
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Partie 3 – Chapitre 1 : l’organisation fonctionnelle des plantes
Activité 4 : Les mécanismes cellulaires du développement d’une plante
A partir de la germination d’une graine, se forme une jeune plante appelée plantule.
Celle-ci va alors se développer en
formant d’une part un système racinaire et d’autre part des organes aériens (tiges et feuilles).
On cherche à localiser et à
identifier les mécanismes responsables du développement des racines et des parties aériennes de la plante.
• A partir de l’étude des observations microscopiques et des documents fournis, localisez et identifiez les
mécanismes responsables du développement des racines et des parties aériennes des plantes.
Document 1 : les m éristème s
Ce sont des ensembles de cellules de petite taille, non spécialisées, qui conservent en permanence la capacité de se diviser.
Les méristèmes sont en particulier localisés à l’extrémité des tiges et des racines.
Document 2 : les résultats de l’expérience de Sachs
Cette expérience consiste à marquer une racine avec des traits
d’encre de Chine, ces traits étant initialement équidistants entre eux
(distance entre deux traits : 1 mm).
Cette racine est ensuite prise régulièrement en photo toutes les heures pendant 14h. Les différentes photos sont présentées ci-contre. Document 3 : observation microscopique d’une extrémité de racine de jacinthe Document 4 : développement de la tige et des feuilles (Source : TermSpé, Belin, 2020) Le développement des parties aériennes d’une plante se réalise par la mise en place successive de différentes structures ou unités répétitives appelées phytomères. Chaque phytomère est constitué d’un fragment de tige, formé d’un entre-noeud et d’un nœud), d’une feuille et d’un bourgeon axillaire situé à la base de cette feuille. Le document ci-contre est une photographie d’une coupe longitudinale d’un bourgeon apical (sommet de la tige) observée en microscopie optique. L’activité du bourgeon apical permet la formation de nouveaux phytomères à l’extrémité de la tige. Au niveau des ébauches foliaires et de la zone située sous le méristème apical de la tige, les cellules ont grandi et ont commencé à acquérir des caractères de cellules différenciées des tissus de la feuille ou de la tige.. »
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