Les LusiadesCamoensChant IV (extrait)Aux violences de la tempête, aux ombresde la nuit, au vent sifflant, l'aube sereinefait succéder la lumière et l'espoir d'unhavre et du salut.
Publié le 22/05/2020
Extrait du document
«
Les Lusiades
Camoens
Chant IV (extrait)
Aux violences de la tempête, aux ombres
de la nuit, au vent sifflant, l'aube sereine
fait succéder la lumière et l'espoir d'un
havre et du salut.
Le soleil dissipe les
noires ténèbres et chasse la terreur de
l'esprit.
C'est ce qui survint au vaillant
Royaume lorsque mourut le Roi Fernand.
Car si les nôtres désirèrent vivement qui
vînt venger leurs dommages et leurs
injures sur ceux qui mirent si bien à profit
la molle passivité de Fernand, ils le
trouvèrent bientôt en élevant au trône
Jean, prince à jamais illustre, comme seul
véritable héritier de Pèdre, quoique
bâtard.
Que c'était là le divin décret des Cieux, on
le vit à des signes évidents lorsque, à
Évora, la voix d'une fillette, parlant avant
l'âge, le nomma.
Et comme chose, enfin,
marquée par le destin du Ciel, elle haussa
dans son berceau son corps et sa voix :
“ Portugal, Portugal, dit-elle, levant la
main, pour D.
João, le nouveau roi ! ”
Alors, la haine qui couvait dans les c œ urs
égarant les gens du Royaume, la fureur
du peuple se livre, au hasard, à des
cruautés effrénées et flagrantes.
On
massacre amis et parents du comte
adultère et de la reine avec laquelle il
affiche plus clairement, maintenant
qu'elle est veuve, sa malhonnête
incontinence..
»
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