Les images [...] ne peuvent suffire, écrit Jean Guéhenno. Vous chercherez quelle est la force des images, ce qui fait à la fois leur utilité et leur danger, et par quoi elles doivent être complétées (livres...).
Publié le 09/12/2021
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- Je hais les livres; ils n'apprennent qu'à parler de ce qu'on ne sait pas, écrit Jean Jacques Rousseau dans son essai sur l'éducation, Emile. Vous discuterez ce point de vue.
- «Que chacun invente sa vie », écrit Jean Guéhenno. Vous direz dans une discussion organisée le sens que vous donnez personnellement à cette formule et vous vous demanderez dans quelle mesure elle peut être appliquée.
- Jean Guéhenno écrit à propos des adolescents : « Il s'agit de leur donner idée qu'en tel ou tel livre, ils trouveront tel compagnon qui a vraiment vécu, pensé pour eux et de leur faire désirer cette prodigieuse rencontre». Sur le chemin des hommes.
- Bossuet, réfléchissant sur l'utilité de la lecture, écrit dans ses notes personnelles qu'elle «éclaire, éveille, fait chercher» ; Aragon écrit dans une étude sur Joë Bousquet : « Tous les livres se lisent comme on s'endort. [...] Le rêve de l'écrivain s'est substitué au vôtre, vous êtes pris... c'est le sommeil nommé lecture. » Quelles réflexions vous inspirent ces deux jugements opposés ?
- Dans la Préface de son Dictionnaire philosophique portatif, Voltaire écrit : "les livres les plus utiles sont ceux dont les lecteurs font eux-mêmes la moitié ; ils étendent les pensées dont on leur présente le germe ; ils corrigent ce qui leur semble défectueux, et fortifient par leurs réflexions ce qui leur parait faible[1]." Que pensez-vous de cette affirmation ?