Les festivals : moteurs de la valorisation du patrimoine et de l’attractivité touristique d’un territoire. Le cas de la ville d'Arles.
Publié le 08/12/2021
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Les festivals : moteurs de la valorisation du patrimoine et de l’attractivité touristique d’un territoire. Le cas de la ville d'Arles.. Ce document contient 554 mots. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en : Echange
Le festival est un secteur de l’activité culturelle qui rencontre ces dernières années une croissance fulgurante. La France en dénombre à elle seule environ 2000, chiffre lui-même difficile à établir. Le phénomène festivalier, qui n’est pas encore assez étudié, commence à faire l’objet d’un discours initié par les professionnels du milieu, qui essaient de le définir et de déterminer les éléments qui le composent, afin de pouvoir l’analyser et tracer de bonnes pratiques pour son futur fonctionnement.
En Arles, ville de 55 000 habitants de la région Provence-Alpes-Côte-D’azur, l’une des plus touristiques de France, les festivals jouent un rôle important dans le développement culturel. De début mai à fin août, les festivals se succèdent, animant la période estivale. Arles est une ville qui vit de sa culture et son tourisme.
La ville d’Arles est un cas particulier. Cette petite ville, qui a charmé van Gogh, a un patrimoine exceptionnel de 8 monuments datant de son époque romaine et romane, tous inscrits au Patrimoine Mondial de l’Unesco (depuis 1981) et de nombreux bâtiments classés monuments historiques. De plus, elle abrite trois musées importants (le Musée Départemental de l’Art Antique, le Musée Réattu de l’art contemporain et le Muséon Arlaten de l’art populaire), ainsi qu’un grand nombre d’associations culturelles offrant une grande diversité d’expositions, de spectacles et de conférences. Elle est aussi le siège des éditions Actes Sud et d’Harmonia Mundi, maisons de renommée internationale. Sise au carrefour de différentes populations, elle profite des traditions provençales mais aussi de celles des corridas et des ferias. De plus, elle jouit aussi d’une richesse naturelle, étant située près du delta du Rhône et entourée du parc naturel de la Camargue au sud, des Alpilles au nord et de la réserve naturelle du Crau à l’est.
Ainsi, ces dernières années, Arles a connu un essor important et s’est transformée en l’une des villes culturelles les plus attractives de France. Cet accomplissement est le résultat d’une politique culturelle dynamique qui a entrepris une série d’actions pour mettre en valeur ce patrimoine et le diffuser.
Dans cette démarche, le Festival de Photographie « Les Rencontres d’Arles » a joué un rôle fondateur. Dès son apparition à la fin des années 60, il a suscité un dynamisme qui a bouleversé le paysage culturel en faisant du mieux la, la ville de la photo et de l’image.
Ayant attiré 72 000 visiteurs en 2009, le festival se trouve, avec ce chiffre record, dans une nouvelle période de croissance. Après déjà 41 ans d’existence, il se projette dans le futur en attaquant de front l’instabilité financière à laquelle les festivals sont toujours sujets, ainsi qu’au besoin de se renouveler tout en conservant sa qualité et sa notoriété. Dans cette optique, des entreprises favorisant une meilleure connaissance par le public et une meilleure coopération avec les acteurs touristiques et culturels sont des alliés importants.
Le nouveau projet de réhabilitation du site des anciens ateliers de la SNCF, entamé par le festival, va changer le paysage de la ville d’Arles et son futur, en la propulsant parmi les principales villes de culture de l’avenir.
En cette époque de crise économique où la culture est reléguée au second plan, Arles montre l’exemple d’une ville qui investit dans son patrimoine et dans le tourisme pour un développement durable. Dans cette démarche, le festival des Rencontres d’Arles joue un rôle primordial.
Le festival est un secteur de l’activité culturelle qui rencontre ces dernières années une croissance fulgurante. La France en dénombre à elle seule environ 2000, chiffre lui-même difficile à établir. Le phénomène festivalier, qui n’est pas encore assez étudié, commence à faire l’objet d’un discours initié par les professionnels du milieu, qui essaient de le définir et de déterminer les éléments qui le composent, afin de pouvoir l’analyser et tracer de bonnes pratiques pour son futur fonctionnement.
En Arles, ville de 55 000 habitants de la région Provence-Alpes-Côte-D’azur, l’une des plus touristiques de France, les festivals jouent un rôle important dans le développement culturel. De début mai à fin août, les festivals se succèdent, animant la période estivale. Arles est une ville qui vit de sa culture et son tourisme.
La ville d’Arles est un cas particulier. Cette petite ville, qui a charmé van Gogh, a un patrimoine exceptionnel de 8 monuments datant de son époque romaine et romane, tous inscrits au Patrimoine Mondial de l’Unesco (depuis 1981) et de nombreux bâtiments classés monuments historiques. De plus, elle abrite trois musées importants (le Musée Départemental de l’Art Antique, le Musée Réattu de l’art contemporain et le Muséon Arlaten de l’art populaire), ainsi qu’un grand nombre d’associations culturelles offrant une grande diversité d’expositions, de spectacles et de conférences. Elle est aussi le siège des éditions Actes Sud et d’Harmonia Mundi, maisons de renommée internationale. Sise au carrefour de différentes populations, elle profite des traditions provençales mais aussi de celles des corridas et des ferias. De plus, elle jouit aussi d’une richesse naturelle, étant située près du delta du Rhône et entourée du parc naturel de la Camargue au sud, des Alpilles au nord et de la réserve naturelle du Crau à l’est.
Ainsi, ces dernières années, Arles a connu un essor important et s’est transformée en l’une des villes culturelles les plus attractives de France. Cet accomplissement est le résultat d’une politique culturelle dynamique qui a entrepris une série d’actions pour mettre en valeur ce patrimoine et le diffuser.
Dans cette démarche, le Festival de Photographie « Les Rencontres d’Arles » a joué un rôle fondateur. Dès son apparition à la fin des années 60, il a suscité un dynamisme qui a bouleversé le paysage culturel en faisant du mieux la, la ville de la photo et de l’image.
Ayant attiré 72 000 visiteurs en 2009, le festival se trouve, avec ce chiffre record, dans une nouvelle période de croissance. Après déjà 41 ans d’existence, il se projette dans le futur en attaquant de front l’instabilité financière à laquelle les festivals sont toujours sujets, ainsi qu’au besoin de se renouveler tout en conservant sa qualité et sa notoriété. Dans cette optique, des entreprises favorisant une meilleure connaissance par le public et une meilleure coopération avec les acteurs touristiques et culturels sont des alliés importants.
Le nouveau projet de réhabilitation du site des anciens ateliers de la SNCF, entamé par le festival, va changer le paysage de la ville d’Arles et son futur, en la propulsant parmi les principales villes de culture de l’avenir.
En cette époque de crise économique où la culture est reléguée au second plan, Arles montre l’exemple d’une ville qui investit dans son patrimoine et dans le tourisme pour un développement durable. Dans cette démarche, le festival des Rencontres d’Arles joue un rôle primordial.
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Venise entre protection du patrimoine et valorisation touristique
- Venise: Entre valorisation du patrimoine et tourisme de masse
- L’OPTIMISATION DE LA LIAISON SITA DANS L’ENVIRONNEMENT EUROCAT-X : CAS DE L’ASECNA EN CÔTE D’IVOIRE
- Prénom Nom Ville, le DateRueCP Ville Monsieur le maire de Ville Rue CP Ville CV et Lettre de motivation : autorisation de sortie du territoire.
- Le travail épique 1 chez Djibril Tamsir Niane : étude des parallèles-homologies, des parallèles-différences et des jeux de paradoxe : le cas de l’épopée mandingue