LES ESPIONS
Publié le 06/12/2021
Extrait du document
LES ESPIONS
Réalisation
Scénario
Directeur de la photographie
Musique
Production
Distribution
Durée
INTERPRÉTATION
Haghi et le clown Nemo
Sonia Barranikowa
Agent 326
Matsumoto
Colonel Jellusio
Burton Jason
Lady Leslane
Kitty
Morrier
Le chauffeur
L'HISTOIRE
En pleine nuit, une porte s'ouvre dans le bureau des archives du consul de Novonie. Des mains gantées forcent un coffre-fort et s'empa-rent des papiers de la plus haute importance. Le lendemain, tous les journaux font état de ce vol de documents secrets qui aurait été opéré par une organisation secrète qui sévit en Europe centrale. Le détective Donald
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LES ESPIONS
Réalisation Fritz LANG (1927) Scénario ............. ..... ...... ... ..... ..... ..
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F.
LANG, Thea VON HARBOU Fritz Arno WAGNER
Directeur de la photographie . .....................
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Musique . .... ... ............ ..... .
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Werner R.
HEYMANN Production ... ......... ........ .... ....... ......
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Fritz Lang Film
Distribution ........ ...... .......... ...... ..... .
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U.F.A.
Durée 175
minutes (à l'origine)
INTERPRÉTATION
Haghi et le clown Nemo ........ ... ........ .......
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Rudolf KLEIN -RO GGE Gerda MAURUS
Sonia Barranikowa .... ... .
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Agent 326 ..... .............. ..... .
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Willy FRITSCH Lupu-PICK Matsumoto ......... ....... ..... ........... .....
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Colonel Jellusio .. ................ ...
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Fritz RASP Burton Jason ............ ........ ...............
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Craighall SHERRY Herta Von WALTHER
Lyen DEYERS Lady Leslane .. ... ..
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Kitty .......... ........... ...... .... ...........
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Morrier ..
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Louis RALPH Le chauffeur .. .....
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Paul HORBIGER
L'HISTOIRE
En pleine nuit, une porte s'ouvre dans le bureau des archives du consul de Novonie.
Des
mains gantées forcent un coffre-fort et s'empa
rent des papiers de la plus
haute importance.
Le lendemain, tous les journaux font état de ce vol
de documents secrets qui aurait été opéré par une organisation secrète qui sévit en Europe centrale .
Le détective Donald Tremaine, qui se fait appeler l'agent 326, est chargé par le com
missaire Burton Jason de découvrir les espions.
Or, les services de Jason sont surveillés par ces mystérieux espions qui connaissent parfaite
ment la mission de l'agent 326.
A tous les éche
lons de la société s'est en effet infiltrée
l'organisation criminelle qui doit sa redoutable
efficacité
au respectable banquier Haghi.
Ayant
constitué une véritable armée de crimine ls et de
malfrats, il a tissé une toile d'araignée au centre
de laquelle il règne en maître incontesté.
Pour cette affaire de documents portant sur des accords commerciaux , Haghi a mobilisé ses
meilleurs espions.
Il confie à Sonia Barrani
kowa le soin de le débarrasser de ce gêneur de
Trémaine.
Sonia rencontre Donald et lui fait
croire qu'elle a tué un homme.
Donald prend la
jeune femme sous sa protection et celle-ci ne ., tarde pas à s'éprendre de celui qu'elle doit ~ trahir.
_3 C'est l'amour qui l'emporte.
Donald ne .; tombe pas dans les griffes de Haghi .
Aidé par la ~ belle Sonia, « 326 » aura raison du chef de l'or -~ ganisation criminelle.
..: ~ u: LA PETITE HISTOIRE
Pour tourner LES ESPIONS , Fritz Lang dut
créer sa propre maison de production , la «Fritz Lang Film GMBH », qui en dehors de ce film -ci
aura produit LA FEMME SUR LA LUNE.
Devenu producteur , l'auteur du DOCTEUR MABUSE disposa de moyens financiers réduits qui/' amenèrent à la réalisation de toutes sortes de
trucages peu onéreux au regard du résultat
obtenu .
Rappelons qu'avant cette œuvre d'espion
nage, le cinéaste
travail/a avec des producteurs
tels que Joe May, Dec/a-Bioscop ou encore la fameuse U.F.A.
LES ESPIONS fut inspiré à Lang par un fait
divers réel.
Une délégation commerciale soviéti-que
implantée à Londres dans les années
vingt fut ~ soupçonnée d'être à la tête d'un réseau d'espion- ~ nage; ce qui lui valut d'être investie par une z section spéciale de Scot/and Yard.
Beaucoup plus :3 tard, Lang présenta son film aux étudiants de :g Californie en en faisant ~n portrait de l'All emagn e ~ de /'entre-deux-guerres: «Dieu avait été envoyé ~ vendre sa marchandise angélique ai/leurs.
Dans ; une telle atmosphère où le mot d'ordre était «que :~ le diable prenne le pouvoir '" de constantes et -' brûlantes curiosi t és faisaient jour pour /efantasti- : que, le mystérieux , le macabre, pour la terreur ~ étran gleuse née de /'obscurité».
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