Les conséquences de la crise sanitaire sur les inégalités sociales à l'école

« Grand oral SES Comme vous le savez, le 17 mars 2020 annonce une date historique puisque c’est à compter de ce jour qu’a débuté un confinement jamais connu en France suite à la pandémie ayant touché le pays.

Mais cette mesure pour limiter les dégâts sanitaires n’est pas sans conséquences dans le domaine social, un exemple très concret est celui de l’impact sur les inégalités scolaires. Ainsi j’ai décidé de m’intéresser aux conséquences qu’ont provoqué la crise sanitaire sur les inégalités sociales à l’école. Pour étudier ce questionnement j’ai décidé de cibler les élèves du niveau primaire en m’intéressant tout d’abord aux catégories d’élèves qui étaient le plus impactées et aux majeurs problèmes qu’ils ont rencontrés, j’ai ensuite observé les réactions de l’état français, ce qu’il a mit en place pour tenter au mieux de faire face à la situation, enfin afin de rendre mon étude plus concrète j’ai pris les dispositions pour rencontrés des professeurs d’écoles ayant vécus cette inédite situation. I. II. III. Tout d’abord, nous savons que depuis toujours des inégalités entre élèves se repèrent à tout âge provoquant alors avantages ou désavantages sur l’apprentissage de connaissances et ce qui d’après les scientifiques aurait un impact sur la poursuite et le domaine choisi dans les études supérieures. En effet, des donnés de l’INSEE ont démontré que dans le cas général les enfants issus de cadre ayant un revenu plutôt conséquent, s’orienteraient vers des études plus longues, tandis que les enfants dont le revenu des parents est plus faible, s’insèrent plus rapidement dans le monde professionnel. La situation sanitaire a obligé en mars 2020 le gouvernement à isoler les plus jeunes qui sont d’importants transmetteurs du virus, ainsi cela a impliqué que les élèves déjà en difficultés ou dont l’attention est difficile n’ont pas pu bénéficier correctement d’une aide professionnelle ce qui a pu dans certain cas provoquer un cercle vicieux avec un retard accumulé de connaissances ce qui n’est pas négligeable notamment pour les jeunes en apprentissage de la lecture, de l’écriture et des bases mathématiques. C’est alors que l’ont repère un creusement général des inégalités puisque dans certains foyers notamment les plus favorisés financièrement les élèves vont bénéficier de l’aide extérieure de leurs proches ou de courts particuliers en post-pandémie mais ils vont surtout avoir accès à des outils informatiques grandement utiles dans cette situation, tandis que les enfants issus de classes plus défavorisées n’auront pas forcément accès à ces outils de travail, dans le cas général, ce qui est ressorti des études menées, c’est qu’ils ne disposent pas d’ordinateur personnel, ont parfois peu d’espace individuel, des problèmes de connections… de plus leurs parents connaissent plus de difficultés pour obtenir du temps libre afin d’aider leurs enfants, liées à leurs obligations professionnelles, donc le soutien des proches est forcément plus délicats pour une partie de la classe moyenne et celle défavorisée. Observant les difficultés que rencontrent un grand nombre d’élèves, l’Etat décide d’agir, la priorité pour le ministère de l’éducation est alors de lutter contre le décrochage scolaire.

Bien que ce dernier soit moins important qu’au collège le nombre reste trop élevé dans les écoles élémentaires puisqu’il peut atteindre selon certain établissement jusqu’à 30% des élèves.

Pour tenter de limiter ce nombre un plan gouvernemental se met en place et l’Etat débloque alors 15 millions d’euros dédiés à l’achat de tablettes et clés 4G pour les plus démunis cependant faut-il encore que les foyers aient la connaissance numérique suffisante pour utiliser le matériel.

En parallèle et justement pour lutter contre ce problème plusieurs salles de classes seront misent à disposition pour certains élèves dont les parents ne bénéficient pas de disponibilités pour garder leurs enfants, par exemple, les parents du domaine médical qui sont réquisitionné. Comme présenté dans mon introduction, j’ai voulu aller au plus des professionnels de l’éduction chez les plus jeunes, c’est pourquoi j’ai contacté le directeur de mon ancienne école primaire. a.

Avez-vous repéré des différences marquantes entre les élèves ?. »