Les cités-états de la Grèce antique
Publié le 20/07/2020
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« Au début de la période archaïque, vers 750 av. J.-C., la population est répartie en cités-états, désignées par le mot grec polis dont dérive notre mot «politique». Chaque État comporte une ville principale et autour des terres et des villages. Ces cités-états sont petites ; Athènes, à son apogée, ne dépasse probablement pas 250 000 habitants. Les cités furent d'abord gouvernées par quelques familles nobles, système de gouvernement appelé oligarchie (oligos : peu ; kratein : commander). Mais certaines cités, peu satisfaites de leur gouvernement, préfèrent donner le pouvoir à un seul homme appelé tyran. Enfin oligarchies et tyrannies sont remplacées par une forme de gouvernement démocratique (dêmos: peuple) à laquelle participe tout habitant ayant le statut de citoyen, ce qui ne comprenait pas toute la population. Les femmes, les étrangers (appelés métèques), les affranchis et les esclaves ne sont pas considérés comme des citoyens. Athènes, par exemple, réunit régulièrement des assemblées du peuple : les citoyens discutent et votent les orientations politiques établies par un Conseil de 500 formé de 50 hommes pour chacune des 10 circonscriptions administratives ou dèmes dans lesquelles la cité-état est divisée. Les conseillers accomplissent ces fonctions pendant un an et chaque dème à son tour dirige le conseil. Les grands magistrats, 9 archons et 10 strategoi (généraux), élus chaque année par l'assemblée, dirigent le gouvernement. On tire au sort les employés. ...»
«
Les
cités-états
Au début de la période archaïque, vers 750 av.
J.-C.,
la population est répartie en cités-états, désignées par
le mot grec polis dont dérive notre mot «politique».
Chaque État comporte une ville principale et autour
des terres et des villages.
Ces cités-états sont petites ;
Athènes, à son apogée, ne dépasse probablement pas
250 000 habitants.
Les cités furent d'abord gouvernées par quelques
familles nobles, système de gouvernement appelé oli
garchie (oligos: peu ; kratein : commander).
Mais certai
nes cités, peu satisfaites de leur gouvernement, préfèrent
donner le pouvoir à un seul homme appelé tyran.
Enfin oligarchies et tyrannies sont remplacées par une
forme de gouvernement démocratique (dêmos: peuple)
à laquelle participe tout habitant ayant le statut de
citoyen, ce qui ne comprenait pas toute la population.
Les femmes, les étrangers (appelés métèques), les affran
chis et les esclaves ne sont pas considérés comme des
citoyens.
Athènes, par exemple, réunit régulièrement
des assemblées du peuple : les citoyens discutent et
votent les orientations politiques établies par un Conseil
de 500 formé de 50 hommes pour chacune des 10
circonscriptions administratives ou dèmes dans lesquel
les la cité-état est divisée.
Les conseillers accomplissent
ces fonctions pendant un an et chaque dème à son
tour dirige le conseil.
Les grands magistrats, 9 archons
et 10 strategoi (généraux), élus chaque année par l'as
semblée, dirigent le gouvernement.
On tire au sort les
employés.
Une grande fëte en l'honneur d'Athéna, patronne d'Athènes : les
Panathénées.
La procession parcourait toute la ville jusqu'au
temple du Parthénon, sur /'Acropole..
»
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