L'édit de grâce d'Alès: La fin de la puissance protestante.
Publié le 17/05/2020
Extrait du document
Ci-dessous un extrait traitant le sujet : L'édit de grâce d'Alès: La fin de la puissance protestante. Ce document contient 494 mots soit 1 pages. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Histoire-géographie.
ALÈS (Édit de grâce ou paix d’, 1629). Édit signé par Louis XIII à Alès après la prise de La Rochelle (1628). Il réduisait la puissance politique et militaire des protestants, mais maintenait les dispositions religieuses de l’édit de Nantes accordé par Henri IV. Les protestants gardaient la liberté du culte et l’égalité civile, mais leurs privilèges politiques (assemblées) et militaires (places de sûreté) étaient supprimés. Voir La Rochelle (Siège de, 1627-1628).
« 1 / 2 2 / 2. »
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- L'édit de grâce d'AlèsLa fin de la puissance protestante.
- Quelles idées sur le théâtre de Racine vous suggère ce jugement de François Mauriac (Mémoires Intérieurs, p. 167) : « L'âme dans Hermione, dans Roxane, dans Phèdre, loin de freiner cet instinct animal et monstrueux qu'elle porte en elles, prête à sa fureur ce qu'il faut d'intelligence et de puissance pour le rendre criminel et pour donner raison à la Grâce de leur avoir manqué ».
- dissertation master littérature de jeunesse sur le conte - Commentez : "Pierre Péju nous dit que «Le conte en général […] met en scène un héros au nom commun, à la psychologie sommaire, dont les aventures sont comme suspendues en dehors du temps et de l’espace. Le conte décrit souvent un « passage », une traversée […]. A la fin, celui qui est mal parti finit par accéder à un état nouveau de maturité, de puissance ou de richesse. Mais certains contes valent avant tout
- Quelles idées sur le théâtre de Racine vous suggère ce jugement de François Mauriac (Mémoires Intérieurs, p. 167) : « L'âme dans Hermione, dans Roxane, dans Phèdre, loin de freiner cet instinct animal et monstrueux qu'elle porte en elles, prête à sa fureur ce qu'il faut d'intelligence et de puissance pour le rendre criminel et pour donner raison à la Grâce de leur avoir manqué » ?
- Turquie (1981-1982): La fin de l'état de grâce