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Lecture cursive poésie baroque

Publié le 13/10/2020

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Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Lecture cursive poésie baroque. Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système gratuit d’échange de ressources numériques. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Littérature.   Etude sur le recueil de Jean de SPONDE 1/ Pour illustrer ce recueil, je propose en premier lieu, une vanité d’un peintre espagnol du XVII siècle, Antonio de Pereda y Salgado qui s’intitule « El Sueno del caballero » datant de 1670 : J’ai choisi cette peinture car premièrement, c’est une peinture de style baroque comme le recueil. Ensuite, le tableau n’a été fait qu’avec des couleurs sombres, c’est-à-dire, noire, Bordeau, gris ; ce qui donne l’impression dès le premier regard de la présence de la mort dans le tableau. De plus, l’on peut apercevoir en plein milieu de l’œuvre, un ange mais avec des ailes noires et blanches qui regarde l’homme assis en train de dormir sur la chaise à droite ; surement pour venir lui annoncer sa mort certaine (l’ange tient un morceau de tissu ou y est écris quelque chose surement en latin mais que l’on ne peut bien lire). On peut alors dire que l’ange est une allégorie de la mort. Or, le recueil de SPONDE est centré sur le thème de la mort et donc pour moi ce tableau illustre bien le recueil étudié. En deuxième lieu, pour illustrer cette œuvre, j’ai décidé de choisir un tableau de Simon RENARD de Saint André datant entre 1613/1677 (la date est incertaine) qui s’intitule « Les Vanités » (ces œuvres, des vanités n’ont pas vraiment de titre elles sont juste nommées « Vanités ».) : Pour ce tableau, l’on peut voir la fuite du temps qui passe, la brièveté de la vie, qui est évoquées par un sablier (au milieu, à droite dans le tableau) ce qui ramène au recueil de SPONDE quand il parle de la vie courte et qui nous mène vers la mort. En parlant de la mort, le crâne représenté en premier plan du tableau, évoque la mort prochaine, du moins la mort qui ne manquera pas d'arriver un jour.

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