LE VERDICT
Publié le 06/12/2021
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veut saisir cette occasion pour remonter la pente et se refaire une image de marque. Il décide de refuser les dommages et intérêts et d'entamer un vrai procès contre l'hôpital et le principal accusé : le Docteur Towler. Celui-ci est défendu par un puissant cabinet d'avocats, dirigé par l'infaillible Ed Concannon, pour qui il n'est pas question de perdre ! Galvin va donc avoir fort à faire, mais puise son courage auprès d'une jeune femme qu'il vient de rencontrer : Laura Fischer. Le combat de Galvin consistera essentiellement à faire parler les infirmières
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LE VERDICT
Réalisation Scénario .......................................
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D'après le roman de .............................
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Directeur de la photographie .......................
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Musique .......................................
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Production .....................................
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Distribution ....................................
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Durée
Frank Galvin
Laura Fischer
INTERPRÉTATION
Mickey Morrissey ................................
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Ed Concannon ..................................
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Le juge Hoyle ...................................
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Maureen Rooney ................................
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Kaitleen Castello Price ............................
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Le docteur T owler ...............................
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Sally Doneghy ..................................
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Dick Doneghy ..................................
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Le Dr Thompson ................................
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Le Dr Gru ber ...................................
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L'HISTOIRE
Sidney LUMET (1982)
David MAMET
Barry REED
A.
BARTKOWIAK (Technicolor)
Johnny MANDEL
R.
D.
ZANUCK, D.
BROWN Fox-Hachette
128 minutes
Paul NEWMAN
Charlotte RAMPLING
Jack WARDEN
James
MASON Milo O'SHEA Julie BOVASSO Lindsay CROUSE Wesley ADDY Roxanne HART
James HANDY Joe SENECA Lewis ST ADLEN
Avocat de son métier, Frank Galvin a failli
être radié du barreau, il y a quelques années, pour
une affaire qui a mal tourné.
Profession
nellement,
il est fini.
Il est même devenu un peu
alcoolique ...
C'est à ce moment-là que son vieil ami et ancien partenaire Mickey Morrissey lui
apporte une affaire cousue main, où Galvin ne pourra pas perdre parce que l'injustice est trop
flagrante : à la suite d'une erreur d'anesthésie,
Deborah Ann Kaye, entrée à l'hôpital Sainte Catherine pour y accoucher, a sombré dans un
coma profond dont elle ne sortira pas ; sa sœur,
son beau-frère, complètement bouleversés, ne cherchent pas à poursuivre les médecins coupa
bles et souhaitent seulement une indemnisation.
L'avocat Frank Galvin n'aura donc même pas à
aller jusque devant
les tribunaux : il doit simple
ment négocier une transaction, accepter un chè
que de !'Archevêché de Boston (qui administre
l'hôpital).
Mais Galvin a soudain un sursaut:
il
veut saisir cette occasion pour remonter la pente
et se refaire une image de marque.
Il décide de
refuser les dommages et intérêts et d'entamer un vrai procès contre l'hôpital et le principal accusé : le Docteur Towler.
Celui-ci est défendu par un
puissant cabinet d'avocats, dirigé par l'infaillible
Ed Concannon, pot.lt qui il n'est pas question de
perdre ! Galvin va donc avoir fort à faire, mais
puise son courage auprès d'une jeune femme
qu'il vient de rencontrer: Laura Fischer.
Le com
bat de Galvin consistera essentiellement à faire
parler
les infirmières qui ont été témoins de l'er
reur des médecins : Maureen Rooney et Kaitleen
Price.
Mais
ce ne sera pas facile, d'autant moins
que Galvin s'aperçoit en cours de route que la partie adverse a tout truqué : Laura Fischer elle
même est manipulée par Ed Concannon.
Malgré
tout, Frank Galvin ira jusqu'au
bout et gagnera
son procès in extremis !
LA PETITE HISTOIRE
A propos de VERDICT Sidney Lumet a déclaré qu'il avait toujours été «fasciné par le système
juridique américain, qui, en principe, exclut la cor
ruption dans le mesure où il met le verdict entre les
mains de douze citoyens ordinaires.
" «J'ai eu
envie d'en reparler, vingt-cinq ans après DOUZE HOMMES EN COLÈRE"• a-t-il ajouté, "mais
LE VERDICT est surtout /'histoire d'un homme "' qui a une connaissance intuitive des institutions et :~ de leurs imperfections.
»De plus, sur le plan visuel, ~ Lumet a souligné qu'il avait voulu son film -très gi stylisé», avec des éclairages directionnels et très g> chauds, inspirés du peintre italien Caravage.
» E @.
»
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