Le travail est-il un droit ?

« Dissertation de philosophie Le travail e st-il un droit ? Le travail dans notre société, fut longtemps considéré comme une punition réserv ée aux plus pauvres ou encore même aux esclaves.

En effet, les gens travaillent non pas dans leurs propres intérêts mais pour satisfaire le niveau de vie de leurs ‘‘employeurs’’.

On voit alors le travail qui nous ai montré comme imposé et comme une véritable punition.

Dans la société moderne aussi on pourrait voir le travail comme une garantit de notre condition de vie dans la société qui nous permettra par la suite de possédé des biens pour satisfaire nos désirs et avant tous nos besoins.

Tout cela nous amènera à être bien intégré dans la société d’échange actuelle.

Bon nombre de personnes sont insatisfait de leurs emplois, mais vient là toute la complexité de cette interrogation.

On parle ici de travail et non d’emploi ; ces deux mots pourraient nous paraitre comme de réels synonymes mais en ceux enfaite tout le contraire. Notre travail nous caractérise et nous place à un véritable rang dans la société.

Comme si nous n’étions reconnues par notre existence uniquement à travers ce travail.

Qu’elle est alors le sens même du travail ? Est-ce que ce travail est alors une véritable contrainte ? Ce travail que nous réalisons n’est-il pas finalement que notre véritable droit ? Avant tout, il est d’abord nécessaire de définir ce qu’est véritablement le travail pour ensuite pouvoir chercher son sens ou encore son utilité.

L’action de travailler, en générale, est de produire des biens ou des services en échange d’un salaire.

La société, en quelques sortes, nous impose un travail qui nous garantit ce salaire et donc une ‘‘place’’ dans la société.

Le travail apparait donc comme une nécessité vitale pour l’Homme.

Pour survivre, nous avons besoin d’assouvir nos besoins vitaux telles que manger, dormir, boire, … Mais cela à un prix. Pour assouvir ces besoins il nous faut donc un salaire et que nous recevons en exerçant un travail.

En effet, dans la plupart des pays aujourd’hui, nous consommons en échanger de l’argent contre des biens ou des services.

Nous n’avons plus les facultés de chasseurscueilleurs tel que nos ancêtres auraient pu les avoirs.

Si nous prenons l’exemple de ces chasseurs-cueilleurs, nous pouvons observer qu’eux travaillaient dans leurs propres intérêts et donc sans faire aucun échange par la suite.

Mais très vite dans l’histoire, différentes sociétés apparurent et cela fut plus qu’obligatoire que les Hommes se répartissent leurs ‘‘taches’’ pour pouvoir continuer leurs évolutions.

Chacun va alors proposer un service ou des biens contre une somme d’argent.

Mais comment pourrions définir que tel travaux vaut un tel prix, salaire ? La valeur du travail nous apparait donc.

Selon Adam Smith, le prix du travail que nous réalisons doit prendre en compte la difficulté de la tâche réaliser mais aussi la valeur des matériaux de bases.

Il est donc après cela envisageable de transformer ce travail en bien échangeable qui nous rapportera un salaire.

Mais ce principe d’équivalence n’est pas toujours vérifié et honnête car trop de paramètres rentrent en compte.

Il est donc impossible de réellement donner une véritable valeur à notre travail.

Pourquoi, en France, imposerions-nous un SMIC qui est applicable dans de nombreux emplois si ceux-là sont tous différents ? La valeur du travail perd encore plus son sens à partir du moment où l’on ne fait même pas attention aux critères de ce derniers mais seulement en appliquant une loi pour un salaire minimum.

Un certain droit social s’applique donc au travail.

De plus ce droit social défini et met une certaine barrière entre un employeur et ces salariés.

Les salariés qui ont donc un emploi, qui est défini par un contrat que le salarié doit signer avant d’exercer cet emploi, travaillent en quelques sortes pour leurs employeurs.

La signature de leur contrat est très symbolique étant donné que le salarié s’engage à respecter un certain nombre de convention pour recevoir un salaire.

Ce droit. »