Le Sefer ToraLa Tora ou les cinq livres de Moïse, sont écrits à la main sur des rouleauxde parchemin ou Sefer Tora, qui sont utilisés pour la lecture publique à lasynagogue.
Publié le 23/05/2020
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Le Sefer Tora
La Tora ou les cinq livres de Moïse, sont écrits à la main sur des rouleaux
de parchemin ou Sefer Tora, qui sont utilisés pour la lecture publique à la
synagogue.
La confection de ces rouleaux, la particularité de l’écriture et de la mise
en pages, leurs divers ornements, constituent un monde passionnant
d’un point de vue intellectuel et esthétique.
Un des moments importants
de la liturgie synagogale est la lecture de la Tora.
On appelle précisément
Tora les cinq livres de Moïse :
– la Genèse : Beréchit ;
– l’Exode : Chémot ;
– le Lévitique : Vayiqra ;
– les Nombres : Bamidbar ;
– le Deutéronome : Devarim.
Depuis l’époque d’Ezra (VI esiècle avant l’ère courante), la Tora est lue en
public trois fois par semaine : le lundi, le jeudi et le samedi, ainsi que les
jours de fêtes et les Roch Hodèche (premier jour du mois), et les jours de
jeûne.
Il faut au moins dix personnes (un Minyane) pour pouvoir faire
cette lecture publique.
Entre trois et sept personnes sont appelées à lire un passage ou à dire une
bénédiction avant la lecture qui est faite en général par un spécialiste de
la cantilation biblique.
La Tora est lue entièrement en un an ; elle est
divisée en cinquante-quatre parties appelées chacune Sidra, qui signifie
« ordre », ou Paracha, qui signifie « morceau » ou « passage ».
Chaque
Chabbat, on lit une partie différente.
Le cycle commence le Chabbat qui
suit la fête de Simhat Tora (fête de la Tora), laquelle clôture les fêtes
d’automne, et se termine à Simhat Tora de l’année suivante.
Ainsi de
semaine en semaine, chaque samedi, l’histoire biblique accompagne le
peuple juif depuis la création du monde jusqu’à la mort de Moïse et
l’entrée en « Terre promise ».
Dans le monde entier, tous les juifs lisent le
même texte le même jour.
Chacune des cinquante-quatre parties porte un nom particulier qui est
celui du premier mot ou de l’un des premiers mots du premier verset de
la Paracha.
Ainsi la première Paracha se nomme Beré-chit, qui est le.
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