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LE ROMAN AU XXe et au XIXe SIÈCLES

Publié le 23/02/2022

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« LE ROMAN AU XX e et au XIX e SI È CLES L’espèce humaine, de Robert Antelme. L'espèce humaine , récit du séjour de Robert Antelme dans l'enfer des camps nazis, est divisé en trois parties de longueur inégale.

Son témoignage commence en pleine nuit, dans le camp allemand de Buchenwald : c'est le 1er octobre 1944, quelques heures avant le transfert d'un groupe de détenus - dont il fait partie - vers le camp de Gandersheim.

Antelme a été envoyé à Buchenwald en août 1944 ; malgré cela, il choisit d'entamer son texte quelques heures avant son départ : les quelques allusions aux semaines passées là-bas se feront par le biais d'analepses. Dans la première partie de son texte, intitulée « Gandersheim », Antelme relate les six mois passés dans ce camp de travail, où se trouve une usine produisant des carlingues d'avions devant être envoyées à l'usine Heinkel de Rostock.

Antelme travaillera pendant un certain temps dans l'usine, ainsi qu'au « zaun-kommando », c'est-à-dire au chantier extérieur.

Douze heures par jour, il transportera des poutres et des pierres dans des conditions pénibles.

Au cours de son séjour au camp, il devra faire face à la famine, au manque de sommeil, aux infestations de poux, à l'épuisement, au froid extrême, à la violence physique des kapos ainsi qu'à la cruauté de certains codétenus.

Il côtoiera également plusieurs civils allemands : la plupart se montreront hostiles, mais certains lui viendront en aide.

Il se liera d'amitié avec quelques prisonniers et assistera à la mort de plusieurs codétenus, dont celle de K.….

La première partie se termine avec les coups de canon qui annoncent l'approche des Alliés et l'évacuation imminente du camp, au début du mois d'avril 1945. La deuxième partie du texte, intitulée « La route », raconte l'évacuation du camp et le chemin parcouru à pied, en dix jours, par les détenus.

Ils sont 450 à fuir le camp mais seulement 150 d'entre eux atteindront la gare de Bitterfeld, pour monter dans un wagon à bestiaux qui les mènera à Dachau.

Tout au long de « La route », des prisonniers seront fusillés et abandonnés au bord chemin ; Antelme verra ainsi mourir plusieurs de ses codétenus.

Avec deux autres prisonniers, il tentera de s'enfuir mais sera rapidement découvert par des enfants et ramené dans « la colonne ». La troisième et dernière partie du texte, intitulée « La fin », raconte le voyage en train qui mena les détenus de Bitterfeld au camp de concentration de Dachau, et les quelques jours précédant la Libération.

Les. »

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