Le père Goriot (fiche de lecture - 2)
Publié le 11/03/2024
Extrait du document
«
Le Père Goriot est un roman introducteur de la Comédie Humaine parut en février 1835.
Il retrace le
parcours sinueux et ambitieux d’un jeune homme Eugène de Rastignac qui veut conquérir l’aristocratie
parisienne.
Pour ce faire, il va notamment s’aider d’un pensionnaire de la maison Vauquer, le père Goriot,
un père adorant ces filles.
La pension Vauquer est tenue depuis 40 ans par Mme Vauquer alors âgée de 54 ans (on sait qu’elle a 48
ans en 1813, année à laquelle le père Goriot intègre la pension).
La gérante de cette pension est née De
Conflans et est veuve de M.
Vauquer dont on ne sait rien.
La pension bourgeoise est située entre le
quartier latin et le faubourg Saint-Marceau, dans la rue Neuve Sainte-Geuneviève, vers la rue de
l’Arbalète.
Ces rues sont serrées entre le dôme du Val de Grâce et le dôme du Panthéon.
Les 7 pensionnaires sont: M.
Poiret (un ancien employé du Muséum), Mlle Michonneau (une retraitée à
l’instar de Poiret), Mlle Couture (veuve d’un commissaire ordonnateur), Victorine Taillefer (sa pupille fille
d’un riche banquier, qui a décidé de la déshéritée, au profit de son frère) sa pupille, M.
Goriot (un homme
de 79 ans que Mme Vauquer à d’abord voulut séduire, durant 3 mois, en raison de son argent), Vautrin
(un homme pour l’instant bien vu et sacrée gaillard) et Christophe (un domestique).
Les demipensionnaires sont des étudiants parisiens dont Horace Bianchon, qui étudie la médecine et qui est un
ami d'Eugène.
La cuisinière de la pension est Sylvie.
En raison de M.
Goriot, Mme Vauquer faisait la promo de sa pension:
«C’était une des plus anciennes et plus estimées pensions bourgeoises du pays latin»
Ce prospectus lui amena la comtesse de l’Ambresnil, femme de 36 ans, là en attendant la fin de la
liquidation et le règlement d’une pension qui lui était due en qualité de veuve d’un général mort sur les
champs de bataille.
C’est une des raisons pour lesquelles la propriétaire y mit du sien et fit tout bien.
Cependant, la comtesse est partie en oubliant de payer 6 mois de pension.
Vers la fin de la 3ème année, le père Goriot réduisit ENCORE les dépenses en montant au 3ème étage et
se passa de nombreuses choses, sûrement pour épargner.
Durant la 4ème année, il n’était plus lui même.
En effet le bon vermicellier de 62 ans semblait être un septuagénaire.
Vers la fin du moi de novembre 1819 moment où éclate ce drame, tous avaient des pensées arrêtées sur
qui était le père Goriot et qui était ses « filles ».
Eugène de Rastignac, ayant reçu ses bac ès-Lettres et bac en Droit, était étudiant en Faculté de droit à
Paris et avait du temps pour comprendre ce qu’était Paris.
Ainsi, il agrandit l’horizon de sa vie et finit par
concevoir la superposition des couches humaines qui composent la société.
Son père, sa mère, ses deux
frères, ses deux soeurs (Laure-Rose et Agathe) et une tante (Mme de Marcillac) vivent sur la petite terre
de Rastignac pas loin de Verteuil sur la Charente.
C’est d’ailleurs sa tante qui l’aidera fortement pour sa conquête sociale, grâce à une lettre écrite dans
l’ancien style remise à Eugène qui la transmettra à la vicomtesse de Bauséant.
Quelques jours après son
arrivée, Rastignac envoya la lettre de sa tante à madame de Bauséant.
Ce à quoi la vicomtesse répondra
par une invitation de bal.
2 jours plus tard, Eugène, après son bal, rentra à la pension où il logeait au
3ème, vers 2 heures dans la nuit.
Le jeune homme venait de reconnaître en la vicomtesse une reine de la
mode à Paris, logeant dans la maison « la plus agréable » du faubourg Saint-Germain.
Elle était, de par
son nom et sa fortune, une des sommités du monde aristocratique.
Au bal, il y entrevit la comtesse Anastasie de Restaud, avec laquelle il s’empressa de se lier.
En se disant
cousin....
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